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Les bouteilles abandonnées dans la nature sont de véritables pièges pour la microfaune, en particulier les invertébrés et les petits mammifères. Nous proposons donc aux gestionnaires d’espaces naturels et aux technicien·ne·s chargé·e·s de l’entretien de ces sites, outre de ramasser ces contenants, de les faire parvenir aux spécialistes voire de participer eux·elles-mêmes à l’analyse de leur contenu. Pour ce faire, un protocole a été mis en place par le GMB.

👉 Tout savoir en vidéo ici : https://vimeo.com/1086315950

Dans le cadre de l’axe 3 du Plan national en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation (2021-2026), un recensement des actions favorables aux pollinisateurs est effectué tous les deux ans par le Ministère en charge de la transition écologique (Ministère de la Transition Écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche).

Ce recensement concerne les secteurs d’activité suivants :

  • aménagements urbains
  • infrastructures linéaires (ex. : routes, voies ferrées, voies navigables, transport d’énergie)
  • grandes emprises foncières (ex. : golfs, terrains militaires, dépendances vertes d’aéroports)
  • sites industriels

La centralisation des informations issues de ce questionnaire permet de dresser un état des lieux général sur la prise en compte des pollinisateurs dans ces secteurs d’activités, sur l’ensemble du territoire français afin d’évaluer les progrès et cibler les actions.

👉 Questionnaire

Vous souhaitez intervenir lors du séminaire ?

Vous êtes élu·e ou agent·e d’une collectivité territoriale ? Une association, un bureau d’études ? Un·e citoyen·ne ou bénévole ? Vous avez mené un ABC ou accompagné un ABC ? Vous êtes engagé·e dans une dynamique territoriale en lien avec la biodiversité ? Vous avez une expérience, une méthode, un retour d’expérience à partager ?

Venez participer au séminaire régional « Les ABC : Aujourd’hui et demain », organisé par la Direction Régionale Bretagne de l’Office Français de la Biodiversité les 14 & 15 octobre prochain à Vannes, en proposant une intervention dans le cadre d’un atelier !
Ce séminaire est organisé dans le cadre du projet AplaBC  » de l’acquisition à la planification : les ABC en questions  » soutenu par les fonds FEDER.

Pourquoi cet appel ?
Nous souhaitons ouvrir largement la possibilité d’intervenir lors des ateliers thématiques du séminaire. Ce séminaire sera l’occasion d’échanger, de co-construire, mais aussi de rencontrer des acteurs du territoire engagés pour la biodiversité. Que vous soyez membre d’une collectivité, un bureau d’études, ou toute autre structure publique ou privée, votre parole peut enrichir les échanges.

Ce formulaire vous permet de proposer une intervention, un témoignage ou une co-animation d’atelier dans le cadre du séminaire régional ABC qui se tiendra les 14 & 15 octobre 2025 au Palais des Arts et Congrès à Vannes.

Ce séminaire a été pensé et conçu autour de thématiques intrinsèquement liés aux ABC (diagnostic écologique, mobilisation citoyenne, intégration de l’ABC dans une dynamique de territoire, élaboration d’un plan d’actions, etc.) et comprendra au total 16 ateliers répartis en 4 blocs transversaux par demi-journée.

Voici un aperçu des ateliers prévus lors de ce séminaire (liste non exhaustive) :
– Mener un diagnostic écologique tourné vers l’action
– Piloter un ABC dans un territoire au quotidien
– Être prestataire / partenaire d’un ABC : rôles et postures
– Élaborer et mettre en ouvre un plan d’actions
– Articuler un ABC avec les transitions locales de son territoire
– Explorer les perspectives post-ABC
– Approfondir les liens entre ABC & outils des Sciences Humaines et Sociales

Ce formulaire est ouvert jusqu’au 13 juin 2025 inclus. L’équipe organisatrice reviendra vers vous mi-juin pour valider votre possible participation et préciser les formats retenus.

Le Museum National d’Histoire Naturelle, Carbone 4 et la Fondation de Recherche pour la Biodiversité ont publié une plateforme d’évaluation des pratiques les plus favorables à la biodiversité.

La campagne de recueil actuelle (forêts exploitées / terres arables : climat tempéré occidentaux) durera du 19 mai au 30 juin -> public visé : expert en biodiversité.

Puzzling Biodiversity est une plateforme conçue pour vous permettre de partager votre expertise. Grâce à votre participation, nous pourrons tester le niveau de consensus entre experts pour tenter de publier un classement de référence des pratiques les plus favorables à la biodiversité, en accès libre, qui pourrait révolutionner les outils d’évaluation actuellement disponibles.

Pour contribuer, c’est ici : https://www.puzzling-biodiversity.org

Lancement, par la Direction de l’Eau et de la Biodiversité, d’un fonds d’urgence « espèces exotiques envahissantes » dans le but de renforcer notre réactivité collective face aux espèces invasives émergentes, qui présentent un degré d’urgence important au regard de risques environnementaux, sanitaires ou économiques.

Un fonds limité : principe du premier arrivé, premier servi.

Champ territorial : Un fonds accessible pour les projets en métropole et Outre-mer.

Champ matériel : Un fonds destiné à des actions d’éradication ou d’endiguement : en priorité pour des espèces encore peu répandues (émergentes) et sur lesquelles la mise en oeuvre d’actions d’éradication est possible. Il n’est cependant pas exclu de solliciter ce fonds pour des espèces largement répandues sur certaines parties du territoire français, ou pour des espèces non encore reconnues EEE à titre règlementaire (anticipation). Ces dernières opérations n’étant pas prioritaires, elle seront examinées au cours du second semestre de l’année, en fonction des fonds encore disponibles.

Le LAB² – Laboratoire d’Agroécologie et de Biodiversité de Bretagne lance un appel à partenaires dans le cadre d’un projet de recherche appliquée sur la régénération rapide des sols agricoles.

Le projet vise à identifier, comparer et diffuser les pratiques agroécologiques les plus efficaces pour restaurer la fertilité des sols dans les 1 à 3 premières années d’installation ou de transition agricole. Il s’appuie sur un panel de fermes partenaires, des analyses de sol approfondies, et une démarche comparative rigoureuse pour produire un référentiel technique reproductible à destination des agriculteurs, des conseillers, des formateurs et des territoires.

Dans ce cadre, nous recherchons des partenaires souhaitant :
– Participer à la co-construction du référentiel (appui méthodologique, expertise terrain, formation) ;
– Tester les outils sur le terrain (grille d’autoévaluation, indicateurs de régénération, itinéraire technique) ;
– Contribuer à la diffusion des résultats (réseaux agricoles, centres de formation, structures d’accompagnement à l’installation) ;
– Apporter un soutien scientifique ou technique (analyses de sol, appui sur les indicateurs, valorisation des données).

Nous lançons également un appel à manifestation d’intérêt auprès de :
– Fermes partenaires (installées ou en transition) souhaitant participer au suivi du projet ;
– Réseaux agricoles ou environnementaux (CIAP, GAB, CIVAM, CUMA, etc.) ;
– Laboratoires d’analyse ou centres techniques ;
– Structures d’accompagnement ou de formation ; Universitaire ou chercheurs ;
– Collectivités territoriales impliquées dans des démarches MAEC, PAT, PCAET, ou stratégies foncières.

Vous êtes intéressé·e ? Contactez-nous : contact[at]lab.bzh ou au 06 71 25 50 55.

Le projet s’inscrit dans une logique de réplication à l’échelle nationale (réseau de LAB exposant “région”) et de transposition internationale, financé par le Fonds de Dotation Roullier.

Dans le cadre du projet CASCADE, financé par INTERREG NWE, Unilasalle Rennes, école des métiers de l’environnement, via son unité de recherche s’intéresse à un modèle de gestion de biomasse résiduelle via la conversion en biochar en Bretagne.

Les bienfaits du biochar sont multiples : amélioration de la vie des sols, rétention de l’eau et des nutriments, filtration des polluant organiques, etc.
Cet amendement s’insère dans les solutions fondées sur la nature pour améliorer l’état des sols, la santé et la résilience des plantes, participer à la gestion des eaux pluviales, valoriser des biomasses résiduelles et diffuses. Le biochar s’inscrit dans les pratiques agroécologiques reconnues de séquestration de carbone dans les sols.
Des solutions lowtech mobiles existent pour transformer en biochar des « biomasses diffuses », trop petites pour les filières classiques de valorisation. Il s’agit par exemple de l’entretien des espaces verts, des forêts, de linéaire bocager et la taille et l’entretien des vergers.

Vous êtes intéressé ? Et vous disposez de biomasse combustible sur votre site?
Unilasalle propose de vous former à l’opération d’un pyroliseur mobile (modèle Exeter ou Rezomes), et d’expérimenter sur votre site un ou plusieurs cycles de production.
NB: le biochar produit restera à vous ; le projet collectera juste des échantillons pour en analyser les qualités.
AMI ouvert jusqu’au 15/05, en vue de sélectionner les sites pilotes.

Un webinaire d’aura lieu le 1er avril 12h45 pour présenter le projet et répondre aux questions. Pour s’y inscrire : https://forms.office.com/Pages/ResponsePage.aspx?id=Q9TNtShaskqAGIFDM9QBjztuRYYSC31Ei7-n-Ctmgr5URTFQTEYwQ0FHRlFBWTNJUE03UVlaREVNRiQlQCN0PWcu

Du 21 au 25 mai 2025, la 19e édition de Fête de la Nature permettra de célébrer la richesse de la biodiversité et l’importance de la nature dans notre quotidien. Pendant 5 jours, des temps gratuits d’immersion dans la nature sont proposés pour permettre à tous de découvrir ou redécouvrir les richesses naturelles présentes sur l’ensemble du territoire français.

Retisser des liens avec ce monde vivant, c’est tout l’enjeu de la Fête de la Nature qui prend place chaque année la quatrième semaine de mai. Sous forme d’animations gratuites dans la nature, elle permet à des centaines de milliers de personnes de vivre, en compagnie de passionnés qui transmettent leurs connaissances et leur amour de la nature, une expérience qui sèmera peut-être une première graine dans leur relation au vivant.

La Fête de la Nature est devenue le plus grand évènement annuel français célébrant le monde vivant dans sa richesse et sa diversité. Dans le cadre de sa Stratégie nationale de la biodiversité à échéance 2030, l’Etat apporte son soutien à l’événement, avec comme objectif de lui permettre de passer d’un million de participants aujourd’hui à cinq millions d’ici 2027.

En 2024, plus de 10 000 animations ont été organisées partout en France : au cœur des forêts, au bord des rivières, dans les parcs des villes, dans les jardins ouverts pour l’occasion…

La préparation des festivités de l’édition 2025 est en cours ! Elus des territoires, enseignants, entrepreneurs, acteurs de la transition écologique, professionnels du tourisme, artistes, particuliers passionnés, bénévoles… qui souhaitent organiser une animation, partager leurs connaissances ou simplement un moment en pleine nature, sont invités à se mobiliser pour l’organisation de cet événement incontournable du printemps en se rejoignant sur fetedelanature.com pour annoncer leur animations.

Comment rejoindre la programmation de la Fête de la Nature 2025 ?

Pour intégrer officiellement la programmation 2025, les acteurs intéressés peuvent organiser des événements divers, tels que des sorties nature, des rencontres champêtres ou des observations nocturnes, avec pour objectif de sensibiliser les citoyens à la biodiversité dans une ambiance festive. Ils sont invités à soumettre leurs propositions d’événements sur le site internet https://fetedelanature.com/inscription, avant le 14 mai 2025 inclus.

À partir de janvier 2025, un kit de communication sera mis à disposition pour promouvoir localement les événements labellisés, dont les projets respectent l’intégralité des 7 critères de la Charte de la Fête de la Nature.

Et du 21 au 25 mai 2025, place à la fête !

Les animations référencées seront visibles du public sur fetedelanature.com, à partir du 1er avril 2025.

La Fête de la Nature est un moment de célébration collective, une occasion de rassembler les françaises et français autour des enjeux de biodiversité et de sensibilisation à la nature.

Pour toute information relative à cet appel à organisation, les porteurs de projets peuvent adresser un mail à l’équipe de la Fête de la Nature : contact[at]fetedelanature.com

Vous souhaitez valoriser les actions que vous mettez en place ? Vous voulez promouvoir les démarches que vous encouragez chez les agriculteurs ? Ou encore, vous connaissez des agriculteurs qui favorisent la présence des pollinisateurs, des auxiliaires des cultures et/ou de la biodiversité dans leur exploitation ?
C’est avec plaisir que nous informons du lancement du troisième recensement d’initiatives en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation dans les paysages agricoles.

Pour quoi ?
Avoir une approche positive pour inspirer les acteurs du secteur agricole : voici le leitmotiv de ce recensement d’initiatives. Son ambition est de cartographier le plus grand nombre d’initiatives, éprouvées sur le terrain, qui impliquent des territoires diversifiés, des acteurs et des filières agricoles variés, qu’elles soient individuelles, collectives, partenariales et quelle que soit leur ampleur. Toutes ces initiatives permettront directement ou indirectement de : protéger, favoriser et valoriser les insectes pollinisateurs (sauvages et domestiques) et la pollinisation.
Chaque initiative identifiée pourra être utilisée à titre d’exemple en vue d’inspirer et d’engager l’ensemble des acteurs qui façonnent le paysage agricole.

Comment participer ?
Le moment est venu de partager ces initiatives en remplissant le formulaire en ligne : https://www.contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr/
ATTENTION, LA DATE LIMITE DE DEPOT DES DOSSIERS EST LE 26 FEVRIER 2025 ! Ne tardez pas !
Pour savoir si votre initiative peut être recensée, consultez les modalités spécifiques à cet appel à recensement : https://urlr.me/r4ZpDA

Comment vos actions seront valorisées ?

1. Pour vous ?
En dehors de la présentation de l’initiative sur la cartographie nationale, ce recensement permettra de communiquer et de diffuser les solutions identifiées vers un public plus large, notamment agricole et apicole via :
– L’utilisation des réseaux sociaux (Linkedin) et la proposition d’articles vulgarisés, notamment pour la presse agricole départementale
– Des sollicitations pour témoigner et mettre en avant votre initiative lors de divers événements (ex : journées locales de bonnes pratiques en faveur pollinisateurs)
– La réalisation d’une vidéo autour de certaines initiatives dans le cadre de la websérie Cultivons la pollinisation : https://www.contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr/article/webserie-cultivons-la-pollinisation

2. Et à l’échelle nationale ?
Concrètement, ce recensement permettra de :
– Faire connaître les bonnes pratiques et de les partager sur une cartographie nationale : http://contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr/
– Appuyer et faciliter la démultiplication des solutions
– Donner envie aux acteurs de s’engager.

Par qui ?
Un comité d’experts scientifiques et techniques caractérise les initiatives à cartographier. Il est le garant de la qualité des bonnes pratiques agricoles recensées.

 

Ce recensement est mené dans le cadre de l’Axe 6 « Partage des pratiques agricoles favorables aux pollinisateurs » du Plan national en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation (2021-2026), porté par les ministères en charge de l’écologie et de l’agriculture et animé par l’association Contrat de Solutions.

Je me présente, William Gouzien, photographe et réalisateur brestois, j’ai monté une exposition intitulé « Les Monts d’Arrée, après le feu » qui tourne depuis le mois d’Août 2024, tous les mois dans les communes du Finistère.

L’exposition retrace les événements des feux de forêt des Monts d’Arrée de l’été 2022 à travers des photographies abstraites et aériennes ainsi que 3 films aériens qui font office d’état des lieux avant/après. L’exposition accueille également 3 courts-métrages liés à la thématique de la forêt, du feu et des enjeux climatiques.

Ma note d’intention est disponible ci-contre.

Après avoir exposé dans les Monts d’Arrée, à Brennilis, Brasparts, Gouézec puis Pleyben, je souhaite désormais ouvrir l’exposition dans le Finistère. Je suis à la recherche de lieux qui souhaiteraient accueillir l’exposition.

Vous trouverez des photos des expositions déjà réalisées ci-après : https://drive.google.com/drive/folders/1ncC1rMUDmXE3L_R4bomTxISdkTLLkAkE?usp=drive_link

Certaines photos sont également déjà parues au magazine Glaz#6.

Proposez un événement à l’occasion de la Journée Mondiale des Zones Humides !

Du 1er au 28 février se déroule la célébration de la Journée Mondiale des Zones Humides, qui vise à sensibiliser la société aux rôles essentiels joués par les zones humides. En outre, le 2 février marque l’anniversaire de la Convention Internationale de Ramsar sur les zones humides.

Le bon état des zones humides est véritablement indispensable pour assurer un avenir prospère aux humains et aux écosystèmes, d’où le thème de cette année : « Protéger les zones humides pour notre avenir commun ».

Les zones humides participent en effet au bon état de la ressource en eau en régulant les crues et les sécheresses et contribuent à la dépollution des cours d’eau et des nappes. Véritables puits de carbone, elles participent à l’atténuation du changement climatique en captant et stockant le CO2 présent dans l’air. Elles sont donc essentielles pour limiter le dérèglement climatique et pour s’adapter à ses conséquences. Mais ce n’est pas tout ! Les zones humides, améliorent le cadre de vie et constituent des espaces exceptionnels de biodiversité, puisque l’on estime à 40% la part des espèces mondiales dépendantes de zones humides. Protéger et restaurer les zones humides, c’est donc préserver nos conditions d’existence, et celles de la biodiversité qui nous entoure.

Pour la Journée Mondiale des Zones Humides, mettez ces milieux à l’honneur en organisant de nombreuses activités de sensibilisation dans toute la Bretagne !

Inscriptions

Vous pouvez faire connaitre vos événements sur les zones humides en les inscrivant sur le portail « J’agis pour la Nature » pour faire partie de cette grande célébration des zones humides, en France et dans le monde ! Deux conditions seulement pour qu’une action soit labellisée : qu’elle se déroule entre le 1er et le 28 février et qu’elle concerne les zones humides.

Besoin d’aide pour enregistrer votre manifestation ? Rendez-vous sur le portail national des zones humides  : https://www.zones-humides.org/journee-mondiale-zones-humides

Dans le cadre du projet IMCISE, une enquête nationale est en cours pour recenser les pratiques de cueillette de la flore sauvage en France métropolitaine, incluant la Corse.

Ce projet est mené conjointement par les laboratoires de recherche AMAP et le Centre d’Écologie Fonctionnelle et Évolutive (CEFE), avec le soutien financier de l’Office français de la biodiversité (OFB). Le questionnaire s’adresse à toute personne ayant des connaissances sur les activités de cueillette (professionnels comme amateurs). L’objectif est documenter la diversité des plantes cueillies ainsi que les pratiques associées dans chacun des départements de France métropolitaine.

Quelques chiffres clés pour mieux comprendre l’enjeu de cette enquête :
– 60 à 90 % des plantes médicinales et aromatiques commercialisées dans le monde sont récoltées à l’état sauvage ¹.
– En France, plus de 10 % de la flore, soit entre 700 et 1 000 espèces, sont cueillies à des fins commerciales ².

Pour répondre au questionnaire, cliquez ici avant fin février 2025 (durée estimée de complétion : 15-20 minutes) : https://chloe-mouillac.limesurvey.net/676868?newtest=Y&lang=fr.

Toutes les données collectées seront anonymisées lors de la diffusion des résultats, qui seront publiquement accessibles courant 2025 dans le cadre du projet IMCISE. Votre participation est essentielle pour enrichir la connaissance des pratiques de cueillette, souvent méconnues.

Merci par avance pour votre précieuse contribution !

Vous voulez agir concrètement pour préserver la biodiversité, repenser l’agriculture et créer un impact positif sur notre environnement ? Breizh Oasis est bien plus qu’une ferme expérimentale, c’est un espace de collaboration dédié à la transition écologique en Bretagne.

Nous cherchons à co-construire des projets avec des partenaires engagés, prêts à changer les choses à nos côtés. Que vous soyez une entreprise, une association, un acteur local, ou simplement une personne passionnée par l’écologie et la durabilité, ensemble, nous pouvons :

🌍 Protéger la biodiversité locale grâce à la création de haies fruitières, de mares et de zones de culture diversifiées
🌿 Promouvoir des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, comme la permaculture, l’éco-pâturage et le maraîchage sur planches permanentes
🤝 Éduquer et sensibiliser à travers des ateliers, des formations et des projets participatifs
🚜 Expérimenter des solutions innovantes pour une agriculture durable et locale

Si vous aussi, vous croyez en un modèle agricole plus respectueux de la nature et des écosystèmes, rejoignez-nous ! Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir plus vert.

➡️ Participez au changement avec nous, contactez-nous pour discuter des possibilités de collaboration !

Cette année, dans le cadre de l’Observatoire Herpétologique de Bretagne animé par Bretagne Vivante et VivArmor Nature, nous vous proposons de partir à la recherche des salamandres avec vos publics en participant au dispositif « La Nuit des Dragons ».

L’objectif : observer et comptabiliser les salamandres. Dans quelles conditions ? La nuit, de septembre à novembre, pendant une trentaine de minutes maximum.
Un protocole détaillé sur notre site vous permettra d’appréhender les conditions nécessaires à l’observation (inscription préalable, fiche terrain à renvoyer, etc.)

Pour vous ; gestionnaires d’espaces naturels, associations naturalistes, collectivités locales… c’est l’occasion idéale de mobiliser le grand public sur la question des amphibiens.
Pour l’Observatoire Herpétologique de Bretagne et la Société Herpétologique de France, c’est une opportunité d’obtenir plus de données terrain en Bretagne.

Un kit de communication est disponible >> ICI <<. Vous pourrez y ajouter vos informations (logo, date et lieu).

L’URCPIE Bretagne est à contacter pour toutes questions sur la communication.

Si vous organisez ou souhaitez organiser un évènement, vous pouvez nous transmettre les informations concernant la sortie : structure organisatrice, date et lieu de l’évènement ainsi que le lien vers un site internet ou un contact. Nous compilerons sur le site de l’URCPIE les différentes sorties prévues en Bretagne.

Les déchets menacent la biodiversité et les écosystèmes.
Le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires fait de la lutte des déchets plastiques et des dépôts sauvages une action prioritaire.
En effet, de nombreux dépôts sauvages et déchets se trouvent trop souvent aux portes de nos villes, dans nos campagnes, dans nos fleuves et nos rivières.
Les établissements publics, les collectivités territoriales, les entreprises, le monde associatif et la société civile agissent contre ces dépôts sauvages, par différents leviers d’actions : l’éducation, la prévention et sensibilisation, l’installation de dispositifs de collecte et de tri.
Dans ce contexte, les Fédérations des Chasseurs de Bretagne renouvellent l’opération « J’aime la Nature Propre 2025 » les 14 – 15 et 16 mars 2025

Les objectifs de “J’aime la nature propre” sont multiples :
1- Enlever les déchets se trouvant dans les milieux naturels
2- Renforcer la mobilisation locale autour de cette problématique
3- Sensibiliser le grand public à la préservation de l’environnement

Toute commune, collectivité territoriale, association, entreprise, citoyen peut participer ou organiser l’opération “J’aime la nature propre”.

Vous êtes intéressés, écrivez-nous : frcb.jlnp[at]gmail.com

Cette opération est réalisée dans le cadre du plan biodiversité du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.

Convaincu·es de la nécessité d’expérimenter d’autres modèles agricoles bretons et de rendre accessible la nature au grand public (90% des forêts bretonnes sont privées), nous développons un projet autour de 3 axes et recherchons des partenaires sur une forêt de 5 hectares :

1. Grande expérimentation agroécologique de production de fruits, légumes et plantes médicinales dans un contexte forestier (Dinan Agglo (22) – Forêt de Coëtquen) + atelier de production de plants issus et adaptés au contexte forestier
2. Animation, sensibilisation formation à la nature auprès de différents publics
3. Mise à disposition du lieu à d’autres acteurs pour proposer leurs formats

Notre appel (notre feuille au vent / bouteille à la mer) :

> Nous recherchons des partenaires pour la recherche afin de suivre l’évolution de la biodiversité et des paramètres agroécologiques sur l’espace concerné par la production.
> Des écoles ou structures sociales qui seraient intéressées pour réaliser des sorties sur ce lieu
> Des professionnels experts (maraîcher, arboriculteur, forestier…) pour nous aider à mettre leurs compétences dans un pot commun et créer un métier transverse : agroforestier·e.
> D’autres professionnels qui souhaitent proposer un projet (apiculteur, myciculteur, cuisinier, naturaliste …)
> Association ou collectif ayant déjà expérimenté la forêt jardin / forêt comestible
> Universités ou grandes écoles pour expérimenter des projets avec les étudiants sur un grand terrain de jeu concret

Ou toute autre idée permettant de faire germer ce projet breton.

Autre information :
Au moins 30% de cette forêt sera laissée en libre évolution.
Il y a des enjeux fort de conservation avec plusieurs zones humides
Nous recherchons actuellement différentes pistes de financement (région, département, Europe…)

AMI porté par la société Aubépine SCOP en vue de la création d’un centre de ressources pour la préservation des arbres en milieu aménagé à Saint-Jacques-de-la-Lande (35).

Pourquoi un pôle de l’arbre “urbain” ?

Le contexte urbain présente un défi de taille pour la survie des tous les végétaux, et des arbres en particulier. Pollutions, compaction et appauvrissement des sols, imperméabilisation massive, îlots de chaleur, maladies, blessures infligées par les humains, sont autant de causes qui mènent à l’affaiblissement de nombreux végétaux en ville, où l’espérance de vie d’un arbre est souvent limitée à quelques décennies, quand celle d’un sujet poussant en milieu plus naturel atteint plus facilement plusieurs centaines d’années.

Les particularités d’un environnement aménagé demandent aux experts et chercheurs un effort d’adaptation des connaissances fondamentales sur le végétal. Aussi, ce cadre implique davantage d’acteurs et de métiers connexes à l’écologie qui ont besoin d’être informés des enjeux techniques pour assurer la préservation des arbres.

Ce futur pôle se veut donc un centre de ressources et de coopération pour favoriser les boisements en milieu urbain.

PatriNat (MNHN, OFB, CNRS, IRD) souhaite dresser un premier état des lieux de l’utilisation des 5 protocoles et 6 indicateurs retenus dans la BAO MhéO, et valoriser des retours d’expériences pour mettre en lumière des projets menés par des gestionnaires d’espaces naturels, dans le cadre du suivi, la gestion ou la restauration de milieux humides.

Il vous invite, en 5 minutes à répondre au questionnaire en ligne qui lui permettra d’avoir un aperçu sur la connaissance et la mise en application de cette boîte à outils.

👉 Accès au questionnaire

Merci de bien participer à cette enquête d’ici le 30 mai 2024.
Nous vous remercions par avance pour votre participation.

Si vous souhaitez participer d’avantage au projet, Saliha MARIET et Emeline MONTFERME seront ravies de se déplacer dans les territoires, afin de vous rencontrer pour un entretien et une éventuelle visite de votre site.

À l’issue du projet, Il sera fourni à chaque participant aux entretiens, une fiche « clé en main », valorisant leur projet et une synthèse globale de ce travail sur MhéO.

N’hésitez pas à partager ce document autour de vous.

Dans le cadre du Projet Alimentaire Territorial métropolitain « Pour une agriculture et alimentation durable » et de son plan d’actions « Agir sur toute la chaine alimentaire 2023-2027 », Rennes Métropole souhaite mettre à disposition du foncier pour favoriser l’installation en agriculture biologique ou le développement de projets de préservation de la biodiversité.
Nous diffusons donc, à destination des porteurs de projet en recherche de foncier, un appel à manifestation d’intérêt (AMI) en pièce jointe à ce mail. Actuellement plusieurs terrains sont disponibles (voir les annexes de l’AMI).

Cet AMI est permanent, les candidatures seront étudiées au fur et à mesure, et de façon groupée lorsque plusieurs candidatures se présenteront dans un délai proche.

La biodiversité ça vous parle ? Vous souhaitez en savoir davantage ? Vous êtes passionnés de la faune ou de la flore ? D’une espèce ou d’un domaine en particulier ? Vous êtes disponible une ou plusieurs heures les 17 et 18 avril 2024 ?

Vous aimez partager et rencontrer du monde ? Expert·e ou non, nous avons un projet à vous partager !

=> Il s’agit d’un projet gratuit et participatif – ouvert à toutes et tous – associatif – citoyen – étudiant – pour lutter contre l’effondrement de la biodiversité : le projet BioBlitz.

Qu’est-ce qu’un BioBlitz ?
Un BioBlitz est une étude sur une zone géographique précise, où un groupe de scientifiques et de bénévoles mènent un inventaire biologique intensif réalisé en un éclair (blitz en allemand). L’objectif est d’identifier et de répertorier toutes les espèces d’organismes vivants présents dans une zone donnée.

Qu’est-ce que nous allons faire concrètement ?
Le principe est simple : un inventaire éclair de la faune et la flore locale avec une entrée pédagogique où des groupes de personnes (étudiant·e·s, citoyen·ne·s, enfants, etc.) partiront explorer le campus à la découverte des espèces animales et végétales qui nous entourent. L’idée est de pouvoir enrichir les atlas participatifs de la biodiversité et de sensibiliser aux enjeux liés à l’effondrement de la biodiversité.

Vous pouvez faire l’inventaire en autonomie, en groupe ou accompagné d’un expert.

Matériel d’identification sur place, livres disponibles à l’emprunt, applications

Où ?
Au regard de la richesse du territoire sur lequel nous sommes implantés, nous souhaitons reproduire ce projet sur le campus de Ker Lann (Bruz) cette année.
Le camp de base : Devant UniLaSalle Rennes, 12 avenue Robert Schuman, F-35170 Bruz

Comment venir : Bus C7 arrêt Ker Lann, Gare SNCF Ker Lann, parking vélos et voitures sur place.

Quand ?
Ce BioBlitz se déroulera : le mercredi 17 avril (de 13h à 23h) et jeudi 18 avril (de 9h à 18h) 2024.

Pour la réalisation de cet inventaire nous avons besoin :

D’expert·e·s (ou de passionné·e·s éclairé·e·s) ! Vous avez des connaissances ? Une envie de les partager ? Ou vous connaissez quelqu’un·e qui a ce profil ?
-> Remplissez ce court formulaire

De participant·e·s ! Vous êtes intéressé·e pour participer ? Le jour J, en amont ou autrement ?
-> Inscrivez votre adresse email ici pour avoir les dernières actus du projet

Le groupe de travail pour l’organisation de ce projet est pour l’instant composé de l’ENSAI, l’ECAM, la Ville de Bruz et UniLaSalle, mais il reste ouvert.

La participation peut se faire sur 1h, 2h ou encore les deux jours. Nous souhaitons partager le plus largement ce projet et en faire un projet le plus participatif et co-construit possible. Toute contribution est la bienvenue.

Contexte du projet :
Le projet « BioBlitz » s’est déjà déroulé sur plusieurs territoires, notamment sur les campus de Beaulieu et Villejean à Rennes l’année dernière. Ce projet a été initié par le CRIC DD (Collectif Rennais Inter-Campus pour le Développement Durable) et se transmet d’année en année. L’année dernière 33 expert·e·s bénévoles se sont mobilisé·e·s et 250 personnes ont participé à l’inventaire organisé par Rennes 2, l’Institut Agro Rennes-Angers, l’Université de Rennes et l’EHESP.

Les objectifs :
Nous souhaitons valoriser la biodiversité de notre campus, sensibiliser aux enjeux liés à sa préservation, et faciliter l’interconnaissance et la rencontre des habitant·e·s, étudiant·e·s et professionnel·le·s.

Les objectifs du projet sont :

  • La découverte pédagogique de la faune et flore de Ker Lann
  • Inviter à la prise de conscience de la richesse de la biodiversité et sensibiliser pour sa préservation
  • Faciliter l’interconnaissance entre les structures du campus et faire le lien avec les habitant·e·s
  • Partage des approches, compétences et savoir-faire
  • Animer le campus en lien avec la multitude d’acteurs et d’actrices du territoire
  • Pour la coordination scientifique, nous allons être accompagnés par le living lab clef.

Pour toute information complémentaire, contactez Iris Bouchonnet (chargée de mission transformation écologique et sociétale d’UniLaSalle Rennes) : iris.bouchonnet[at]unilasalle.fr

Bonjour

Je tente ma chance avec le réseau de l’Agence Bretonne de la Biodiversité ; l’Association des Techniciens de Bassins Versants Bretons (ATBVB) souhaite organiser une journée sur le sujet de la gestion intégrée des eaux pluviales sur les zones d’activités / industrielles, et nous sommes à la recherche d’un retour d’expérience idéalement breton.

Merci d’avance pour vos retours et bonne journée !

Charlotte Le Guénic, chargée de l’animation de l’ATBVB

Vous avez une initiative que vous souhaitez valoriser et cartographier sur le site : contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr ?
Allez-y ! Le second appel à recensement d’initiatives en faveur des insectes pollinisateurs et/ou de la pollinisation dans les paysages agricoles démarre. Il est mené dans le cadre de l’Axe 6 du Plan national en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation. Il vise plus particulièrement le « Partage des pratiques agricoles favorables aux pollinisateurs ».

Tous les ans, le Groupe Mammalogique Breton (GMB) propose de réaliser un suivi des terriers de blaireau le premier week-end de mars. Ce suivi consiste à contrôler l’occupation effective du terrier par l’espèce et à dénombrer le nombre de gueules actives. Le but de cette opération est de disposer d’informations sur l’évolution de cette espèce.
Si ce recensement vous intéresse, n’hésitez pas à nous contacter pour voir si l’on peut vous proposer de suivre des blaireautières non loin de chez vous déjà connues.

L’Agence Bretonne de la Biodiversité anime une mission régionale autour des Solutions d’adaptation fondées sur la Nature (SafN) depuis mars 2022.

Les Solutions d’adaptation fondées sur la Nature regroupent les actions ayant pour objectif l’adaptation au changement climatique et la préservation de la biodiversité. Derrière ce concept, on retrouve par exemple :

  • La restauration des cordons dunaires et des marais arrières-littoraux pour lutter contre les submersions marines ;
  • La désimperméabilisation et la végétalisation des villes / quartiers / écoles / rues pour lutter contre les îlots de chaleur ;
  • La préservation des haies bocagères ou la remise en état des talus pour lutter contre le ruissellement et l’érosion des sols, favoriser l’infiltration et le rechargement des nappes ;
  • La restauration hydrologique des cours d’eau ou la création des zones d’expansion de crues pour lutter contre les inondations en amont des villes/villages.

Vous avez un projet similaire ou qui répond à un enjeu d’adaptation au changement climatique, n’hésitez pas à venir nous en parler !

Bonjour, dans le cadre de mon projet d’exposition « Après le feu » sur les terres brulées et la lande des monts d’Arrée constituée de photos et films aériens, je suis à la recherche de différents partenaires :

-Partenaires afin de me soutenir dans cette exposition
-Lieux intéressés pour accueillir l’exposition sur le territoire du Finistère (dans un premier temps)
-Partenaires en communication afin de relayer les informations concernant l’exposition

Mon projet vise à mettre à l’honneur les landes des Monts d’Arrée. Au travers de l’épisode des feux de l’été dernier, je veux pouvoir amener un œil à la fois sur la beauté de ces landes vues du ciel malgré les feux et questionner de manière positive sur la régénération de la lande dans le futur. J’utilise pour cela à la fois un prisme abstrait aux travers des photos aériennes ainsi qu’un prisme documentaire à travers les films.
Par ces prismes, je souhaite montrer que les landes sont à la fois fragiles mais aussi régénératrices, peut-être immortelles…

Je vous laisse prendre connaissance de l’exposition à travers la note d’intention ci-jointe avec les photos compressées.

Vous pouvez me contacter à mon adresse mail : levoyagedeskoumoul[at]gmail.com

William Gouzien

DEUXIÈME APPEL À PROJETS DERVENN « SOCIÉTÉ À MISSION » : MÉCÉNAT DE COMPÉTENCES CONNAISSANCE ET PRÉSERVATION DE LA BIODIVERSITÉ DE NOTRE TERRITOIRE

Dervenn lance son second appel à projets « mécénat de compétences en faveur de la biodiversité » en sa qualité de « Société à mission » introduite par la loi PACTE en mai 2019. Notre raison d’être depuis près de 20 ans maintenant est de rendre compatibles les activités humaines et la préservation de la biodiversité, et dans ce cadre, nous poursuivons l’une de nos actions phares ; notre mise à disposition de compétences en faveur de projets du territoire.

Dans le cadre du fondement « Promotion de la biodiversité », nous vous proposons un mécénat de compétences pour préserver la biodiversité sur notre territoire.

Proposez-nous un projet d’action en faveur de la biodiversité et nous mettrons nos compétences et notre expertise à votre service pour vous accompagner : études et conception – conseil – maitrise d’œuvre – travaux de génie écologique.

Les critères d’éligibilité sont les suivants :

– Être un particulier, une entreprise ou une collectivité ;

– Ne pas se substituer à une ou des obligations règlementaires ;

– Un rayon d’action de 1h30 autour de Rennes ou de Nantes ;

– Un besoin sur une ou plusieurs des compétences suivantes :
• un accompagnement écologue ou naturaliste,
• de la conception/création d’aménagement en faveur de la biodiversité
• des travaux de génie écologique
• une valorisation pédagogique d’aménagement ou de projet,
• un accompagnement conseil en gestion, études ou travaux de génie écologique.

– Un accompagnement à hauteur d’une semaine d’étude et/ou de travaux de génie écologique.

Ou toute autre proposition permettant de valoriser ou d’optimiser l’accueil de la biodiversité dans l’ouest de la France !

Les différentes propositions seront analysées en comité de suivi et présentées à l’ensemble des collaborateurs de Dervenn pour un vote. Le lauréat sera notifié au printemps 2023 pour une mise en œuvre dans l’année.

Merci d’avance pour vos propositions afin que nos collaborateurs du pôle étude et/ou du pôle travaux puissent vous accompagner !

Proposez-nous vos projets via notre questionnaire.

Afin de suivre l’évolution des populations de Micromammifères, le Groupe Mammalogique Breton réalise une collecte annuelle de pelotes d’Effraie des clochers. Ces pelotes, une fois décortiquées et les proies qu’elles contiennent identifiées, sont des sources d’informations précieuses.

Nous invitons donc les naturalistes, techniciens de collectivités, gestionnaires d’espaces naturels, particuliers… à contrôler les sites occupés dans leur secteur par l’Effraie et à nous transmettre les lots de pelotes collectés (et étiquetés avec nom, prénom, coordonnées, date et lieu précis de la trouvaille). Cette opération menée en Bretagne administrative et Loire-Atlantique est renouvelée tous les ans.

Bonjour à tous,

Je travaille à faire interdire à terme (le plus court possible !) l’utilisation des paillages plastiques dans les aménagements paysagers. Ces paillages, le plus souvent en polypropylène tissé, ont deux utilisations principales. La première pour des plantations : le paillage couvre le sol autour des plants installés pour empêcher l’arrivée spontanée de plantes concurrentes et pour limiter l’évaporation du sol. C’est d’ailleurs la fonction originelle du paillage jadis constitué de matériaux naturels comme la paille.
La seconde en couverture de sol pour ne plus avoir à entretenir la végétation (talus, pied de clôture par exemple). C’est en quelque-sorte un substitut des phytocides.
Ils ont un impact négatif sur la biodiversité (absence de fleurs sauvages pour les insectes…), sur le bilan carbone (fabriqué à base de produit pétrolier et empêchant le stockage de carbone dans le sol), donc sur le climat, et aussi sur la pollution plastique : dégradation progressive en fins éléments qui polluent tout l’écosystème, du sol aux océans.

Pour étoffer mes connaissances et mon argumentaire, j’en appelle à vos savoirs et je recherche notamment :
– des données sur la commercialisation de ces produits et leur place sur le marché par rapport aux toiles biodégradables : quantités commercialisées par les vendeurs, installées par les paysagistes
– des retours d’expériences des collectivités publiques sur une stratégie de dépose de plastiques antérieurement installés
– des retours d’expériences de ces mêmes collectivités ou d’autres acteurs sur les solutions alternatives mises en place (techniques et acceptation culturel du « moins propre »)
– toute contribution que vous jugeriez utile.

MERCI à vous.