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Les bouteilles abandonnées dans la nature sont de véritables pièges pour la microfaune, en particulier les invertébrés et les petits mammifères. Nous proposons donc aux gestionnaires d’espaces naturels et aux technicien·ne·s chargé·e·s de l’entretien de ces sites, outre de ramasser ces contenants, de les faire parvenir aux spécialistes voire de participer eux·elles-mêmes à l’analyse de leur contenu. Pour ce faire, un protocole a été mis en place par le GMB.

👉 Tout savoir en vidéo ici : https://vimeo.com/1086315950

Dans le cadre de l’axe 3 du Plan national en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation (2021-2026), un recensement des actions favorables aux pollinisateurs est effectué tous les deux ans par le Ministère en charge de la transition écologique (Ministère de la Transition Écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche).

Ce recensement concerne les secteurs d’activité suivants :

  • aménagements urbains
  • infrastructures linéaires (ex. : routes, voies ferrées, voies navigables, transport d’énergie)
  • grandes emprises foncières (ex. : golfs, terrains militaires, dépendances vertes d’aéroports)
  • sites industriels

La centralisation des informations issues de ce questionnaire permet de dresser un état des lieux général sur la prise en compte des pollinisateurs dans ces secteurs d’activités, sur l’ensemble du territoire français afin d’évaluer les progrès et cibler les actions.

👉 Questionnaire

Le ZAN (et plus généralement la sobriété foncière) ne se réalisera pas uniquement avec un simple calcul arithmétique !

Les documents de planification, bien entendu, ont un rôle majeur à jouer : le SRADDET breton, tout comme les SCoT, puis les PLU/I ont joué et joueront ce rôle en intégrant et territorialisant le principe de réduction de la consommation foncière à hauteur de 50% à horizon 2031 et 100% en 2050, tel qu’édicté par la loi Climat et Résilience. La trajectoire est écrite. Le plus dur reste à faire : il nous faut maintenant la réaliser.

Quels sont les outils dont vous, acteurs de l’aménagement et de l’urbanisme, avez besoin pour réussir la sobriété foncière ?
Tous les outils nécessaires existent-ils déjà ?
Quels sont les outils à améliorer ?
Quels sont les outils qui nous manquent, à inventer ou ré-inventer ?
C’est aux élu·es et professionnels de l’aménagement qu’il revient de le dire.

C’est pourquoi la Conférence régionale de gouvernance du Foncier en Bretagne dite CRG (regroupant les SCOT, la Région, l’Etat et les représentants des intercommunalités bretonnes) lance un “brainstorming” régional, large consultation afin d’identifier les outils pour faire le ZAN, et relever le défi de la trajectoire bretonne.

Afin de ne pas se cantonner à une vision purement “comptable” du ZAN, cette consultation regroupe 68 propositions (nouveaux outils ou modifications d’outils existants) structurés autour des 3 piliers du Développement Durable :

  1. Mieux protéger l’environnement avec le ZAN
  2. Améliorer la vie des habitant·es avec le ZAN
  3. Trouver un nouveau modèle économique pour faire le ZAN

Ces 68 propositions ne sont pas portées ou défendues par la CRG, la Région ou même l’Etat : elles sont la synthèse des propositions, des réflexions ou des travaux initiés par les experts depuis plusieurs années sur le sujet de la sobriété foncière.

Certaines d’entre elles nous paraitront évidentes, pertinentes, innovantes, et d’autres plus disruptives, irraisonnables ou “fausses bonnes idées”. Ces propositions “martyres” sont mises sur la table, sans angle mort ou tabou, pour inciter les acteurs de l’aménagement à réagir et à ajouter leurs propres propositions au débat !

A l’issue de la démarche, la CRG s’engage à porter, y compris au niveau national et notamment auprès du législateur, les propositions qui se dégageront d’un consensus à l’échelle bretonne. Il s’agit bien de faire bouger les lignes et d’adapter les outils à la disposition des aménageurs. Ces propositions seront portées dans un livre blanc pour le foncier en Bretagne.

Les professionnels ont tous leur domaine d’expertise : il n’est pas nécessaire que chaque participant·e contribue à l’intégralité des propositions et des volets de la consultation. Il est possible, le cas échéant, de réagir sur un seul pilier en fonction de votre intérêt, de vos compétences, sur une ou plusieurs propositions qui vous plaisent ou vous déplaisent, ou encore de proposer une seule nouvelle idée  d’outil : le contrat sera rempli !

Alors, participez  au débat et donnez votre avis pour relever ensemble le défi d’une sobriété foncière ambitieuse, effective et opérationnelle !

👉 Lien vers la consultation : https://atelier.bretagne.bzh/project/consultation-sur-la-mise-en-oeuvre-du-zan-en-bretagne/step/etape-personnalisee

L’appel à projets a vocation à accompagner la définition et la mise en œuvre de projets territoriaux en faveur de la biodiversité, basés sur le renforcement des continuités écologiques.
Ces démarches peuvent inclure des actions telles que :

  • inventaires, diagnostic de la fonctionnalité, identification des continuités écologiques
  • identification des enjeux de préservation et de restauration des continuités écologiques
  • définition et mise en œuvre de plans d’actions adaptés.

Les projets peuvent donc prendre la forme d’Atlas de la Biodiversité Communale ou Intercommunale, à condition qu’ils comportent un volet structurant sur les continuités écologiques en cohérence avec les attendus de l’appel à projets.

Un accompagnement possible des projets, quel que soit leur stade d’avancement :

Le diagnostic écologique du territoire qui permet d’identifier les continuités écologiques, met en valeur des enjeux de préservation et de restauration, et leurs interactions avec les enjeux socio-économiques. Une fois ces enjeux cernés et hiérarchisés, le porteur de projet établit un plan d’actions opérationnel qui lui permettra de mener des actions de préservation, de restauration de continuités écologiques, d’intégrer la biodiversité dans l’ensemble de ses politiques publiques (dont les documents de planification) et de déployer des actions de sensibilisation. Il pourra aussi conduire des études complémentaires pour développer la connaissance de certains secteurs ou certaines espèces du territoire ou pour préciser la nature de travaux de génie écologique à réaliser.

L’appel à projets est ouvert à tout type de démarche, quel que soit son stade d’avancement et de maturité : sont attendues les démarches émergentes, comme celles de territoires qui ont déjà développé un diagnostic et un plan d’actions en faveur des continuités écologiques et qui souhaitent désormais mettre en œuvre et animer leur plan d’actions.

Les démarches sur les trames noires, blanches et brunes, moins connues, plus expérimentales, sont encouragées

L’appel à projets pourra également accompagner des études et des démarches en faveur de la trame noire (pollution lumineuse impactante pour la biodiversité), la trame blanche (pollution sonore) ou la trame brune (liée à la qualité des sols). Autre nouveauté : les projets pourront aussi comporter une évaluation d’actions déjà entreprises en faveur de la restauration ou préservation des continuités écologiques présentant un retour d’expérience et visant l’amélioration des interventions.

Les projets seront appréciés sur leur capacité à :

  • mettre en place une démarche intégrée, en mobilisant l’ensemble des politiques publiques concernées. Les plans d’actions devront démontrer comment ils s’articulent aux autres stratégies en œuvre sur le territoire, en matière d’environnement (bocage, milieux aquatiques, énergie et adaptation au changement climatique, agriculture…) et d’aménagement et de développement territorial (aménagement, urbanisme, infrastructures, tourisme…) ;
  • déployer une démarche fédératrice en mobilisant les différents partenaires institutionnels et socio-économiques concernés, et les inciter à développer des actions pour lesquelles ils sont compétents. Ceci garantira la transversalité et l’appropriation de la démarche ;
  • engager une démarche qui vise la reconquête de la biodiversité à travers des actions opérationnelles. Les plans d’actions définis dans le cadre des projets devront présenter un caractère suffisamment opérationnel pour permettre le passage à l’action ;
  • adopter une méthodologie en phase avec les attendus et les outils régionaux disponibles (cadre méthodologique du SRADDET, et recueil méthodologique pour des projets territoriaux en faveur de la biodiversité)

Echelle des projets attendus

Considérant que la cohérence paysagère et écologique dépasse bien souvent les limites administratives communales, et au regard de l’intérêt à mutualiser les méthodes et les outils sur un même territoire, les projets attendus se situent en priorité sur des territoires pluricommunaux. Ainsi, les porteurs de projets attendus prioritairement sont les PNR, les EPCI, les structures porteuses de SCOT, SAGE, ou de bassin versant, les Départements, la Région. Les Établissements publics, les associations et les acteurs académiques peuvent également bénéficier de l’appel à projets.

DES IDÉES ET OUTILS 100% BZH POUR VOUS AIDER DANS VOTRE CANDIDATURE :

📌  Tout savoir sur la TVB et les attendus de cet appel à projets FEDER. Consulter la fiche
🛠  L’interface MaQuestion #biodiversitéBZH vous met en relation avec des contacts du Réseau breton de l’accompagnement  et des ressources documentairesUtiliser cet outil 3 en 1

Vous souhaitez intervenir lors du séminaire ?

Vous êtes élu·e ou agent·e d’une collectivité territoriale ? Une association, un bureau d’études ? Un·e citoyen·ne ou bénévole ? Vous avez mené un ABC ou accompagné un ABC ? Vous êtes engagé·e dans une dynamique territoriale en lien avec la biodiversité ? Vous avez une expérience, une méthode, un retour d’expérience à partager ?

Venez participer au séminaire régional « Les ABC : Aujourd’hui et demain », organisé par la Direction Régionale Bretagne de l’Office Français de la Biodiversité les 14 & 15 octobre prochain à Vannes, en proposant une intervention dans le cadre d’un atelier !
Ce séminaire est organisé dans le cadre du projet AplaBC  » de l’acquisition à la planification : les ABC en questions  » soutenu par les fonds FEDER.

Pourquoi cet appel ?
Nous souhaitons ouvrir largement la possibilité d’intervenir lors des ateliers thématiques du séminaire. Ce séminaire sera l’occasion d’échanger, de co-construire, mais aussi de rencontrer des acteurs du territoire engagés pour la biodiversité. Que vous soyez membre d’une collectivité, un bureau d’études, ou toute autre structure publique ou privée, votre parole peut enrichir les échanges.

Ce formulaire vous permet de proposer une intervention, un témoignage ou une co-animation d’atelier dans le cadre du séminaire régional ABC qui se tiendra les 14 & 15 octobre 2025 au Palais des Arts et Congrès à Vannes.

Ce séminaire a été pensé et conçu autour de thématiques intrinsèquement liés aux ABC (diagnostic écologique, mobilisation citoyenne, intégration de l’ABC dans une dynamique de territoire, élaboration d’un plan d’actions, etc.) et comprendra au total 16 ateliers répartis en 4 blocs transversaux par demi-journée.

Voici un aperçu des ateliers prévus lors de ce séminaire (liste non exhaustive) :
– Mener un diagnostic écologique tourné vers l’action
– Piloter un ABC dans un territoire au quotidien
– Être prestataire / partenaire d’un ABC : rôles et postures
– Élaborer et mettre en ouvre un plan d’actions
– Articuler un ABC avec les transitions locales de son territoire
– Explorer les perspectives post-ABC
– Approfondir les liens entre ABC & outils des Sciences Humaines et Sociales

Ce formulaire est ouvert jusqu’au 13 juin 2025 inclus. L’équipe organisatrice reviendra vers vous mi-juin pour valider votre possible participation et préciser les formats retenus.

Le Museum National d’Histoire Naturelle, Carbone 4 et la Fondation de Recherche pour la Biodiversité ont publié une plateforme d’évaluation des pratiques les plus favorables à la biodiversité.

La campagne de recueil actuelle (forêts exploitées / terres arables : climat tempéré occidentaux) durera du 19 mai au 30 juin -> public visé : expert en biodiversité.

Puzzling Biodiversity est une plateforme conçue pour vous permettre de partager votre expertise. Grâce à votre participation, nous pourrons tester le niveau de consensus entre experts pour tenter de publier un classement de référence des pratiques les plus favorables à la biodiversité, en accès libre, qui pourrait révolutionner les outils d’évaluation actuellement disponibles.

Pour contribuer, c’est ici : https://www.puzzling-biodiversity.org

Lancement, par la Direction de l’Eau et de la Biodiversité, d’un fonds d’urgence « espèces exotiques envahissantes » dans le but de renforcer notre réactivité collective face aux espèces invasives émergentes, qui présentent un degré d’urgence important au regard de risques environnementaux, sanitaires ou économiques.

Un fonds limité : principe du premier arrivé, premier servi.

Champ territorial : Un fonds accessible pour les projets en métropole et Outre-mer.

Champ matériel : Un fonds destiné à des actions d’éradication ou d’endiguement : en priorité pour des espèces encore peu répandues (émergentes) et sur lesquelles la mise en oeuvre d’actions d’éradication est possible. Il n’est cependant pas exclu de solliciter ce fonds pour des espèces largement répandues sur certaines parties du territoire français, ou pour des espèces non encore reconnues EEE à titre règlementaire (anticipation). Ces dernières opérations n’étant pas prioritaires, elle seront examinées au cours du second semestre de l’année, en fonction des fonds encore disponibles.

Le LAB² – Laboratoire d’Agroécologie et de Biodiversité de Bretagne lance un appel à partenaires dans le cadre d’un projet de recherche appliquée sur la régénération rapide des sols agricoles.

Le projet vise à identifier, comparer et diffuser les pratiques agroécologiques les plus efficaces pour restaurer la fertilité des sols dans les 1 à 3 premières années d’installation ou de transition agricole. Il s’appuie sur un panel de fermes partenaires, des analyses de sol approfondies, et une démarche comparative rigoureuse pour produire un référentiel technique reproductible à destination des agriculteurs, des conseillers, des formateurs et des territoires.

Dans ce cadre, nous recherchons des partenaires souhaitant :
– Participer à la co-construction du référentiel (appui méthodologique, expertise terrain, formation) ;
– Tester les outils sur le terrain (grille d’autoévaluation, indicateurs de régénération, itinéraire technique) ;
– Contribuer à la diffusion des résultats (réseaux agricoles, centres de formation, structures d’accompagnement à l’installation) ;
– Apporter un soutien scientifique ou technique (analyses de sol, appui sur les indicateurs, valorisation des données).

Nous lançons également un appel à manifestation d’intérêt auprès de :
– Fermes partenaires (installées ou en transition) souhaitant participer au suivi du projet ;
– Réseaux agricoles ou environnementaux (CIAP, GAB, CIVAM, CUMA, etc.) ;
– Laboratoires d’analyse ou centres techniques ;
– Structures d’accompagnement ou de formation ; Universitaire ou chercheurs ;
– Collectivités territoriales impliquées dans des démarches MAEC, PAT, PCAET, ou stratégies foncières.

Vous êtes intéressé·e ? Contactez-nous : contact[at]lab.bzh ou au 06 71 25 50 55.

Le projet s’inscrit dans une logique de réplication à l’échelle nationale (réseau de LAB exposant “région”) et de transposition internationale, financé par le Fonds de Dotation Roullier.

Dans le cadre du projet CASCADE, financé par INTERREG NWE, Unilasalle Rennes, école des métiers de l’environnement, via son unité de recherche s’intéresse à un modèle de gestion de biomasse résiduelle via la conversion en biochar en Bretagne.

Les bienfaits du biochar sont multiples : amélioration de la vie des sols, rétention de l’eau et des nutriments, filtration des polluant organiques, etc.
Cet amendement s’insère dans les solutions fondées sur la nature pour améliorer l’état des sols, la santé et la résilience des plantes, participer à la gestion des eaux pluviales, valoriser des biomasses résiduelles et diffuses. Le biochar s’inscrit dans les pratiques agroécologiques reconnues de séquestration de carbone dans les sols.
Des solutions lowtech mobiles existent pour transformer en biochar des « biomasses diffuses », trop petites pour les filières classiques de valorisation. Il s’agit par exemple de l’entretien des espaces verts, des forêts, de linéaire bocager et la taille et l’entretien des vergers.

Vous êtes intéressé ? Et vous disposez de biomasse combustible sur votre site?
Unilasalle propose de vous former à l’opération d’un pyroliseur mobile (modèle Exeter ou Rezomes), et d’expérimenter sur votre site un ou plusieurs cycles de production.
NB: le biochar produit restera à vous ; le projet collectera juste des échantillons pour en analyser les qualités.
AMI ouvert jusqu’au 15/05, en vue de sélectionner les sites pilotes.

Un webinaire d’aura lieu le 1er avril 12h45 pour présenter le projet et répondre aux questions. Pour s’y inscrire : https://forms.office.com/Pages/ResponsePage.aspx?id=Q9TNtShaskqAGIFDM9QBjztuRYYSC31Ei7-n-Ctmgr5URTFQTEYwQ0FHRlFBWTNJUE03UVlaREVNRiQlQCN0PWcu

Le projet ECOBEX, coordonné par l’Office français de la biodiversité (OFB) en partenariat avec le laboratoire LOG à l’Université de Lille, vise à développer un outil d’évaluation facilement utilisable pour mesurer l’impact des substances chimiques sur les écosystèmes marins.

💡 Un enjeu pour la gestion des infrastructures côtières :

L’entretien des infrastructures littorales, notamment le nettoyage des quais et des cales, est susceptible d’impliquer l’usage de produits chimiques dont les effets sur la biodiversité marine restent insuffisamment documentés. Le projet ECOBEX propose une approche basée sur des tests comportementaux standardisés portant sur l’agrégation et l’attachement des moules permettant d’évaluer ces impacts directement sur site, sans nécessiter d’analyses en laboratoire externe.

📢 Un recensement des pratiques en cours :

Afin d’adapter les méthodologies et indicateurs associés aux réalités du terrain et aux besoins des collectivités (gestionnaires d’espaces naturels, gestionnaires de ports…), nous souhaitons identifier les produits (chimiques ou non) actuellement utilisés pour l’entretien des infrastructures côtières sur vos territoires. Cette démarche vise à mieux cibler les substances à étudier et à développer dans un second temps des recommandations adaptées aux gestionnaires.

🔎 Comment contribuer ?

Nous vous invitons à remplir le sondage en ligne : https://forms.gle/UPUpWGRdGwLyx3ky7 avant le 11/04/2025, afin de nous faire part des pratiques et produits utilisés pour l’entretien des infrastructures côtières (cales en particulier) dont vous avez connaissance à l’échelle de votre collectivité ! Votre participation permettra d’affiner la conception du projet ECOBEX avec les préoccupations concrètes des gestionnaires et de cibler des outils d’évaluation d’impacts environnementaux adéquats.

Merci pour votre engagement en faveur d’une gestion durable des écosystèmes côtiers. 🌱🌊

La 2e édition des Rencontres Biodiversité et Territoires se tiendra les mercredi 9 et jeudi 10 juillet 2025 au Palais des congrès de Bordeaux.

Pendant deux jours, des ateliers collaboratifs et innovants ainsi que des rencontres avec des experts et des partenaires engagés permettront aux participants d’explorer des solutions concrètes pour préserver et valoriser la biodiversité localement.

L’Office français de la biodiversité invite les acteurs des territoires à participer activement à la construction du programme de la 2e édition des Rencontres Biodiversité et Territoires en proposant des ateliers et témoignages.

Les ateliers proposés devront s’inscrire dans l’une des 12 grandes thématiques suivantes :

· Collectivités : les clefs pour convaincre : arguments, éléments de langage, pour faire percevoir la biodiversité comme quelque chose de positif, en amont ou en parallèle du passage à l’action
· Collectivités : les clefs pour agir : outils, solutions concrètes et accompagnements mobilisables par les collectivités pour agir en faveur de la biodiversité.
· Foncier / stratégie foncière : outils spécifiques au foncier pour préserver les espaces naturels et agricoles (dont ORE, SNCRR), maîtriser l’urbanisation et anticiper les zones de compensation écologique.
· Outils financiers pour la biodiversité : fonds publics et privés mobilisables pour financer les pratiques vertueuses ou mettre en place un projet favorable à la biodiversité.
· Sports de nature/tourisme et biodiversité : enjeux et solutions pour concilier ces deux activités avec la protection de la biodiversité en interrogeant par exemple les lieux de pratique et d’implantation ainsi que les comportements des clients ou des pratiquants.
· Éducation, jeunesse et mobilisation citoyenne, relation au vivant : initiatives réussies, ressources et outils pour sensibiliser et faire reconnaître l’engagement de différents types de public à la protection du vivant.
· Agriculture et biodiversité : liens entre agriculture, alimentation et préservation de la biodiversité des territoires, rôle et capacité d’action des collectivités dans la thématique.
· Biodiversité et qualité de vie : services rendus par la nature dans les domaines de la santé, du bien-être des populations et de la cohésion sociale. Bénéfices réciproques sur la biodiversité et sur les populations de projets.
· Adaptation au changement climatique : rôle de la biodiversité (solutions fondées sur la nature, trames écologiques, gestion de l’eau) dans l’atténuation et l’adaptation au changement climatique.
· Renaturation / restauration / protection : outils concrets pour mettre en place des actions de restauration de milieux en lien avec d’autres politiques publiques (urbanisme, paysage, transition écologique)
· Eau et biodiversité : montrer l’interdépendance entre ces deux thématiques notamment pour l’adaptation au changement climatique, le rôle des zones humides, la biodiversité littorale et marine.
· Planification territoriale / aménagement : outils pour réussir à intégrer concrètement les enjeux de biodiversité dans les différents documents de planification et d’aménagement et notamment les PLU, articulation des différentes échelles territoriales, intégration multi enjeux (ZAN, TVB, ENR, risques, …).
· Énergies renouvelables : enjeux de conciliation des EnR avec ceux de la biodiversité au sein d’un territoire.

Comment proposer un atelier ?

Pour soumettre une proposition, téléchargez la notice explicative et remplissez le formulaire avant le 21 février 2025.

Diffusion d’un questionnaire à destination des gestionnaires d’espaces naturels.

Dans le cadre d’un projet de recherche sur l’analyse coût-efficacité des aires protégées en France (projet ACER), nous vous sollicitons pour participer à une enquête visant à évaluer l’efficacité des aires protégées (descriptif du projet).

Contexte et objectifs :

La stratégie nationale pour les aires protégées (SNAP) 2030 fixe des objectifs ambitieux concernant le financement et l’évaluation de l’efficacité des aires protégées. Ce projet vise à mieux comprendre les freins et les leviers qui influencent le ratio coût-efficacité de la gestion des aires protégées set d’étudier si l’ensemble du réseau a des moyens à la hauteur de ses ambitions.

Organisation du questionnaire :

Le questionnaire, élaboré suite à un atelier avec plusieurs gestionnaires d’aires protégées, aborde deux aspects de l’efficacité :

  • Efficacité de résultats : Évaluation du degré d’atteinte des finalités de gestion.
  • Efficacité de moyens : Évaluation des moyens humains, financiers et organisationnels mis à disposition.

Le questionnaire devrait prendre autour d’une vingtaine de minutes.

Comment participer ?

Le questionnaire est accessible via ce lien : https://questions.huma-num.fr/v4/s/h9w500. Il est destiné à n’être rempli qu’une fois par aire protégée et peut être complété seul ou à plusieurs.

Nous vous remercions par avance pour votre participation, qui est essentielle pour enrichir notre analyse et, nous l’espérons, contribuer à l’amélioration de la gestion des aires protégées en France.

Au-delà de sa dimension environnementale, la biodiversité est un levier essentiel pour répondre aux enjeux de santé publique, de justice sociale, de transports et mobilités, d’aménagement urbain et de logement, d’éducation et culture ou encore d’économie locale et tourisme.

A un peu plus d’un an des prochaines élections municipales, où les enjeux environnementaux occupent une place croissante dans les politiques publiques locales et dans les préoccupations des habitant·es, nous lançons un appel à manifestation pour contribuer à la création d’un Kit « Élu·es & Biodiversité ». Cet outil collectif visera à soutenir les communes et les EPCI dans l’intégration de la biodiversité dans leurs politiques locales.

Un programme en 5 volets :
S’inspirer / Se former / S’équiper / S’entourer / Valoriser

  1. S’inspirer Retours d’expérience sous forme de rendez-vous, publications…
  2. Se former Monter en compétences sur le sujet biodiversité
  3. S’équiper Ressources disponibles
  4. S’entourer Trouver les bons partenaires selon les besoins
  5. Valoriser Partager les actions exemplaires en matière de biodiversité

Deux axes d’implication

1. Pour les structures accompagnant les élu·es locaux :
Nous recherchons des organisations, associations, ou institutions qui :

  • Ont déjà conçu pour 2025 et 2026 des actions, événements, outils ou formations dédiés aux élu·es locaux pour les sensibiliser et les accompagner sur les enjeux de biodiversité.
  • Souhaitent partager leurs rendez-vous, ressources ou méthodologies pour nourrir ce kit et en maximiser l’impact auprès des élu·es et des collectivités.

2. Pour les élu·es et agent·es des communes et EPCI :
Votre retour d’expérience est essentiel ! Nous souhaitons recueillir :

  • Les actions déjà mises en œuvre dans votre territoire en faveur de la biodiversité.
  • Vos intentions et projets en cours ou à venir sur ce sujet, afin d’enrichir le kit avec des exemples concrets et inspirants pour d’autres élu·es.

Objectifs

  • Favoriser une meilleure prise en main de l’enjeu biodiversité par les élu·es locaux.
  • Mettre à disposition des ressources pratiques et adaptées pour soutenir la transition écologique dans les territoires.
  • Valoriser les initiatives existantes et stimuler l’émergence de nouvelles actions.

Comment participer ?

Partagez votre contribution aux liens suivants :

Recensement pour les structures accompagnant les élu·es locaux
👉 Merci de nous transmettre dans ce document (temps requis entre 5 et 10 minutes)

  • Une brève présentation de votre structure
  • Les actions, outils ou projets avec leurs dates de réalisation que vous souhaitez partager.
  • Vos besoins spécifiques ou attentes en lien avec le kit.

Enquête pour les élu·es et agent·es des communes et EPCI
👉 merci de répondre à cette courte enquête (temps requis entre 5 et 10 minutes)

Calendrier

  • Date limite de réponse : 30 avril
  • Analyse des contributions et consolidation du kit : au fil de l’eau
  • Lancement du kit prévu avec une mise en avant dans la newsletter « La Mensuelle de la #biodiversitéBZH » : fin février puis ajout au fil de l’eau

Pour toute question, contactez-nous à communication[at]biodiversite.bzh.

Ensemble, mobilisons-nous pour renforcer la place de la biodiversité dans les politiques publiques locales et accompagner les élu·es dans leur rôle d’acteurs essentiels de la transition écologique !

Du 21 au 25 mai 2025, la 19e édition de Fête de la Nature permettra de célébrer la richesse de la biodiversité et l’importance de la nature dans notre quotidien. Pendant 5 jours, des temps gratuits d’immersion dans la nature sont proposés pour permettre à tous de découvrir ou redécouvrir les richesses naturelles présentes sur l’ensemble du territoire français.

Retisser des liens avec ce monde vivant, c’est tout l’enjeu de la Fête de la Nature qui prend place chaque année la quatrième semaine de mai. Sous forme d’animations gratuites dans la nature, elle permet à des centaines de milliers de personnes de vivre, en compagnie de passionnés qui transmettent leurs connaissances et leur amour de la nature, une expérience qui sèmera peut-être une première graine dans leur relation au vivant.

La Fête de la Nature est devenue le plus grand évènement annuel français célébrant le monde vivant dans sa richesse et sa diversité. Dans le cadre de sa Stratégie nationale de la biodiversité à échéance 2030, l’Etat apporte son soutien à l’événement, avec comme objectif de lui permettre de passer d’un million de participants aujourd’hui à cinq millions d’ici 2027.

En 2024, plus de 10 000 animations ont été organisées partout en France : au cœur des forêts, au bord des rivières, dans les parcs des villes, dans les jardins ouverts pour l’occasion…

La préparation des festivités de l’édition 2025 est en cours ! Elus des territoires, enseignants, entrepreneurs, acteurs de la transition écologique, professionnels du tourisme, artistes, particuliers passionnés, bénévoles… qui souhaitent organiser une animation, partager leurs connaissances ou simplement un moment en pleine nature, sont invités à se mobiliser pour l’organisation de cet événement incontournable du printemps en se rejoignant sur fetedelanature.com pour annoncer leur animations.

Comment rejoindre la programmation de la Fête de la Nature 2025 ?

Pour intégrer officiellement la programmation 2025, les acteurs intéressés peuvent organiser des événements divers, tels que des sorties nature, des rencontres champêtres ou des observations nocturnes, avec pour objectif de sensibiliser les citoyens à la biodiversité dans une ambiance festive. Ils sont invités à soumettre leurs propositions d’événements sur le site internet https://fetedelanature.com/inscription, avant le 14 mai 2025 inclus.

À partir de janvier 2025, un kit de communication sera mis à disposition pour promouvoir localement les événements labellisés, dont les projets respectent l’intégralité des 7 critères de la Charte de la Fête de la Nature.

Et du 21 au 25 mai 2025, place à la fête !

Les animations référencées seront visibles du public sur fetedelanature.com, à partir du 1er avril 2025.

La Fête de la Nature est un moment de célébration collective, une occasion de rassembler les françaises et français autour des enjeux de biodiversité et de sensibilisation à la nature.

Pour toute information relative à cet appel à organisation, les porteurs de projets peuvent adresser un mail à l’équipe de la Fête de la Nature : contact[at]fetedelanature.com

Conscients de l’importance de l’équilibre entre patrimoine bâti et patrimoine naturel, Vincent Amrhein et la Fondation La Sauvegarde de l’Art Français ont souhaité s’associer afin de créer le « Prix Amrhein », un prix biannuel doté de 15000 euros pour valoriser des initiatives exemplaires et innovantes en matière de restauration d’éléments du patrimoine bâti ancien en tenant compte des contraintes liées à la préservation de la biodiversité.

Sont appelés à concourir pour ce prix :

  • L’Etat et les collectivités territoriales
  • Les établissements publics-Les organismes à but non lucratif d’intérêt général (tels que les fondations, les fonds de dotation, les associations loi de 1901 reconnues ou non d’utilité publique, les établissements publics de santé civils et militaires…)

Le prix Amrhein sera attribué à un projet en cours de réalisation ou achevé depuis moins d’un an qui traitera de manière innovante et efficace l’enjeu de préservation de la biodiversité au sein d’un patrimoine bâti.

Ces projets peuvent être divers :

  • projet d’aménagement ou de restauration patrimoniale intégrant les contraintes liées à l’accueil et à la préservation de la faune
  • projet d’entretien, de conservation, de restauration ou de restitution d’un parc, d’un jardin ou d’un potager historique, attenant à un patrimoine
  • projet de médiation et de valorisation post-restauration d’un élément précité.

Les projets proposés doivent justifier d’un impact positif sur la biodiversité.

Appel à candidatures : du 6 décembre 2024 au 15 mai 2025
Jury de sélection : juin 2025
Remise du prix : juin ou juillet 2025

Vous souhaitez valoriser les actions que vous mettez en place ? Vous voulez promouvoir les démarches que vous encouragez chez les agriculteurs ? Ou encore, vous connaissez des agriculteurs qui favorisent la présence des pollinisateurs, des auxiliaires des cultures et/ou de la biodiversité dans leur exploitation ?
C’est avec plaisir que nous informons du lancement du troisième recensement d’initiatives en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation dans les paysages agricoles.

Pour quoi ?
Avoir une approche positive pour inspirer les acteurs du secteur agricole : voici le leitmotiv de ce recensement d’initiatives. Son ambition est de cartographier le plus grand nombre d’initiatives, éprouvées sur le terrain, qui impliquent des territoires diversifiés, des acteurs et des filières agricoles variés, qu’elles soient individuelles, collectives, partenariales et quelle que soit leur ampleur. Toutes ces initiatives permettront directement ou indirectement de : protéger, favoriser et valoriser les insectes pollinisateurs (sauvages et domestiques) et la pollinisation.
Chaque initiative identifiée pourra être utilisée à titre d’exemple en vue d’inspirer et d’engager l’ensemble des acteurs qui façonnent le paysage agricole.

Comment participer ?
Le moment est venu de partager ces initiatives en remplissant le formulaire en ligne : https://www.contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr/
ATTENTION, LA DATE LIMITE DE DEPOT DES DOSSIERS EST LE 26 FEVRIER 2025 ! Ne tardez pas !
Pour savoir si votre initiative peut être recensée, consultez les modalités spécifiques à cet appel à recensement : https://urlr.me/r4ZpDA

Comment vos actions seront valorisées ?

1. Pour vous ?
En dehors de la présentation de l’initiative sur la cartographie nationale, ce recensement permettra de communiquer et de diffuser les solutions identifiées vers un public plus large, notamment agricole et apicole via :
– L’utilisation des réseaux sociaux (Linkedin) et la proposition d’articles vulgarisés, notamment pour la presse agricole départementale
– Des sollicitations pour témoigner et mettre en avant votre initiative lors de divers événements (ex : journées locales de bonnes pratiques en faveur pollinisateurs)
– La réalisation d’une vidéo autour de certaines initiatives dans le cadre de la websérie Cultivons la pollinisation : https://www.contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr/article/webserie-cultivons-la-pollinisation

2. Et à l’échelle nationale ?
Concrètement, ce recensement permettra de :
– Faire connaître les bonnes pratiques et de les partager sur une cartographie nationale : http://contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr/
– Appuyer et faciliter la démultiplication des solutions
– Donner envie aux acteurs de s’engager.

Par qui ?
Un comité d’experts scientifiques et techniques caractérise les initiatives à cartographier. Il est le garant de la qualité des bonnes pratiques agricoles recensées.

 

Ce recensement est mené dans le cadre de l’Axe 6 « Partage des pratiques agricoles favorables aux pollinisateurs » du Plan national en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation (2021-2026), porté par les ministères en charge de l’écologie et de l’agriculture et animé par l’association Contrat de Solutions.

Je me présente, William Gouzien, photographe et réalisateur brestois, j’ai monté une exposition intitulé « Les Monts d’Arrée, après le feu » qui tourne depuis le mois d’Août 2024, tous les mois dans les communes du Finistère.

L’exposition retrace les événements des feux de forêt des Monts d’Arrée de l’été 2022 à travers des photographies abstraites et aériennes ainsi que 3 films aériens qui font office d’état des lieux avant/après. L’exposition accueille également 3 courts-métrages liés à la thématique de la forêt, du feu et des enjeux climatiques.

Ma note d’intention est disponible ci-contre.

Après avoir exposé dans les Monts d’Arrée, à Brennilis, Brasparts, Gouézec puis Pleyben, je souhaite désormais ouvrir l’exposition dans le Finistère. Je suis à la recherche de lieux qui souhaiteraient accueillir l’exposition.

Vous trouverez des photos des expositions déjà réalisées ci-après : https://drive.google.com/drive/folders/1ncC1rMUDmXE3L_R4bomTxISdkTLLkAkE?usp=drive_link

Certaines photos sont également déjà parues au magazine Glaz#6.

Etude d’opportunité pour une animation régionale renforcée sur les milieux humides –
Questionnaire à destination des technicien·ne·s et chargé·e·s de mission milieux aquatiques (cours d’eau/zones humides), environnement et biodiversité de Bretagne

Ce questionnaire est destiné aux acteurs de la préservation et de la restauration des milieux humides, et a pour objectif de contribuer à une étude d’opportunité pour le renforcement d’un réseau régional d’animation autour des milieux humides en Bretagne, dans une optique de plus-value et de synergie avec les animations préexistantes.

Le plan national milieux humides et la stratégie CESP « Communication, éducation, sensibilisation, participation » préconisent un niveau d’animation régionale sur les milieux humides. En Bretagne, il existe un réseau régional sous l’angle de la « Restauration des zones humides » (RERZH).

En lien avec le comité de suivi du RERZH, il a été proposé une phase d’enquête visant à identifier les besoins en termes de priorités d’actions à mener sur les milieux humides en Bretagne, actions qui pourraient faire l’objet d’une coordination ou animation régionale.

Réponse souhaitée pour le 13/12/2024 : https://framaforms.org/etude-dopportunite-pour-une-animation-regionale-renforcee-sur-les-milieux-humides-1732024346

« Mission Nature » est un jeu à gratter vendu 3 euros dans tous les points de vente de la Française des Jeux et disponible également en ligne. Sur ces 3 euros, 43 centimes sont reversés à l’OFB pour financer des projets de reconquête de la biodiversité dans les territoires.
Pour sélectionner ces projets, un appel à projets est lancé chaque année.

En 2023, Mission Nature a dépassé l’objectif fixé avec plus de 7 millions d’euros récoltés au bénéfice de la biodiversité. L’engagement des joueurs a ainsi permis de soutenir non seulement les 20 projets sélectionnés, mais aussi d’en ajouter un 21e !

Appel à projets 2025
Depuis le 22 octobre 2024, l’appel à projets Mission Nature 2025 « Mer et littoral » est officiellement ouvert. Cet appel à projets est destiné à faire émerger et à appuyer la mise en œuvre des projets en faveur de la restauration d’écosystèmes marins et littoraux dans toutes leurs composantes (habitats, espèces, fonctions, pressions/menaces…), en cohérence avec les stratégies et dispositifs nationaux et régionaux dédiés à la biodiversité.

Les candidats ont jusqu’au 28 février 23h59 (heure de Paris) pour déposer leurs projets.

👉 Plus d’infos : https://www.ofb.gouv.fr/mission-nature

Proposez un événement à l’occasion de la Journée Mondiale des Zones Humides !

Du 1er au 28 février se déroule la célébration de la Journée Mondiale des Zones Humides, qui vise à sensibiliser la société aux rôles essentiels joués par les zones humides. En outre, le 2 février marque l’anniversaire de la Convention Internationale de Ramsar sur les zones humides.

Le bon état des zones humides est véritablement indispensable pour assurer un avenir prospère aux humains et aux écosystèmes, d’où le thème de cette année : « Protéger les zones humides pour notre avenir commun ».

Les zones humides participent en effet au bon état de la ressource en eau en régulant les crues et les sécheresses et contribuent à la dépollution des cours d’eau et des nappes. Véritables puits de carbone, elles participent à l’atténuation du changement climatique en captant et stockant le CO2 présent dans l’air. Elles sont donc essentielles pour limiter le dérèglement climatique et pour s’adapter à ses conséquences. Mais ce n’est pas tout ! Les zones humides, améliorent le cadre de vie et constituent des espaces exceptionnels de biodiversité, puisque l’on estime à 40% la part des espèces mondiales dépendantes de zones humides. Protéger et restaurer les zones humides, c’est donc préserver nos conditions d’existence, et celles de la biodiversité qui nous entoure.

Pour la Journée Mondiale des Zones Humides, mettez ces milieux à l’honneur en organisant de nombreuses activités de sensibilisation dans toute la Bretagne !

Inscriptions

Vous pouvez faire connaitre vos événements sur les zones humides en les inscrivant sur le portail « J’agis pour la Nature » pour faire partie de cette grande célébration des zones humides, en France et dans le monde ! Deux conditions seulement pour qu’une action soit labellisée : qu’elle se déroule entre le 1er et le 28 février et qu’elle concerne les zones humides.

Besoin d’aide pour enregistrer votre manifestation ? Rendez-vous sur le portail national des zones humides  : https://www.zones-humides.org/journee-mondiale-zones-humides

Depuis 1992, le programme européen LIFE vise à co-financer des projets dans les domaines de l’environnement et du climat.

Le Ministère de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques a récemment mandaté l’IGEDD pour examiner des solutions visant à augmenter le nombre et la qualité des projets français pouvant bénéficier du programme LIFE, en s’inspirant notamment des pratiques d’autres pays européens. Parallèlement, les négociations sur le prochain cadre financier pluriannuel de l’Union Européenne sont en cours et soulèvent des interrogations quant au financement du programme LIFE.

Dans ce cadre, nous souhaitons recueillir vos retours d’expérience concernant la candidature à des projets LIFE afin d’identifier les points de blocage et leviers d’amélioration pour les futures candidatures françaises.

Merci de prendre quelques minutes pour répondre à cette enquête.

Dans le cadre du projet IMCISE, une enquête nationale est en cours pour recenser les pratiques de cueillette de la flore sauvage en France métropolitaine, incluant la Corse.

Ce projet est mené conjointement par les laboratoires de recherche AMAP et le Centre d’Écologie Fonctionnelle et Évolutive (CEFE), avec le soutien financier de l’Office français de la biodiversité (OFB). Le questionnaire s’adresse à toute personne ayant des connaissances sur les activités de cueillette (professionnels comme amateurs). L’objectif est documenter la diversité des plantes cueillies ainsi que les pratiques associées dans chacun des départements de France métropolitaine.

Quelques chiffres clés pour mieux comprendre l’enjeu de cette enquête :
– 60 à 90 % des plantes médicinales et aromatiques commercialisées dans le monde sont récoltées à l’état sauvage ¹.
– En France, plus de 10 % de la flore, soit entre 700 et 1 000 espèces, sont cueillies à des fins commerciales ².

Pour répondre au questionnaire, cliquez ici avant fin février 2025 (durée estimée de complétion : 15-20 minutes) : https://chloe-mouillac.limesurvey.net/676868?newtest=Y&lang=fr.

Toutes les données collectées seront anonymisées lors de la diffusion des résultats, qui seront publiquement accessibles courant 2025 dans le cadre du projet IMCISE. Votre participation est essentielle pour enrichir la connaissance des pratiques de cueillette, souvent méconnues.

Merci par avance pour votre précieuse contribution !

Vous voulez agir concrètement pour préserver la biodiversité, repenser l’agriculture et créer un impact positif sur notre environnement ? Breizh Oasis est bien plus qu’une ferme expérimentale, c’est un espace de collaboration dédié à la transition écologique en Bretagne.

Nous cherchons à co-construire des projets avec des partenaires engagés, prêts à changer les choses à nos côtés. Que vous soyez une entreprise, une association, un acteur local, ou simplement une personne passionnée par l’écologie et la durabilité, ensemble, nous pouvons :

🌍 Protéger la biodiversité locale grâce à la création de haies fruitières, de mares et de zones de culture diversifiées
🌿 Promouvoir des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, comme la permaculture, l’éco-pâturage et le maraîchage sur planches permanentes
🤝 Éduquer et sensibiliser à travers des ateliers, des formations et des projets participatifs
🚜 Expérimenter des solutions innovantes pour une agriculture durable et locale

Si vous aussi, vous croyez en un modèle agricole plus respectueux de la nature et des écosystèmes, rejoignez-nous ! Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir plus vert.

➡️ Participez au changement avec nous, contactez-nous pour discuter des possibilités de collaboration !

Proposez vos idées pour coconstruire des projets de recherche entre acteur·rices de la société civile, décideur·ses et chercheur·ses !

Labellisé « science avec et pour la société » en 2022 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le projet « TrIptyque Science Société pour AGir Ensemble » (TISSAGE) met en œuvre un dialogue entre science et société en tissant des liens entre les citoyen·nes, les chercheur·ses et les décideur·ses, notamment sur des sujets en rapport avec l’environnement, la santé ou le numérique. La plateforme de recherches participatives de TISSAGE est dotée d’un fonds d’amorçage pour permettre à ce triptyque d’acteur·rices de coconstruire des projets de recherche.

Il s’agit de financer le temps d’émergence de projets de recherches participatives, à savoir l’étape de la mise en place des collaborations entre les acteur·rices, pour leur permettre d’initier conjointement une recherche. Les thématiques sont libres dès lors que la pertinence du sujet pour les citoyen·nes, les chercheur·ses et les décideur·ses est démontrée. Les projets déposés peuvent ainsi s’intéresser notamment aux questions liées à la biodiversité, à sa gestion, sa préservation, sa représentation, etc

👉 Plus d’infos

Suite à La Rencontre « Gestionnaires & Chercheur·ses » organisée en octobre 2023 et à l’analyse de la plus-value de cette journée, toujours dans le cadre du groupe de travail « Renforcement des collaborations entre gestionnaires et chercheur·ses » animé par l’Agence Bretonne de la Biodiversité, nous lançons une campagne de recensement des besoins, envies et motivations de travail des chercheur·ses, des gestionnaires et des acteur·ices à l’interface science-gestion, pour les années à venir.

Ce travail nous permettra d’effectuer une compilation de besoins puis de vous les repartager dans l’objectif d’identifier :
1) des collaborations futures à partir de besoins et motivations croisées ;
2) des sujets de projets multi-sites ou régionaux dont nous pourrions appuyer l’émergence.

Tout cela s’inscrit dans une dynamique de co-construction des actions et politiques publiques déployées en Bretagne (Stratégie Nationale Aires Protégées, Stratégie Régionale Biodiversité, …). Les résultats de ces projets pourront nourrir les stratégies en cours.

Vous trouverez à partir des liens ci-dessous, les 3 à 4 questions à compléter selon votre profil :

Le temps nécessaire pour réponse est estimé entre 3 et 10 minutes.
Dans la mesure du possible, merci de formuler vos réponses de la manière la plus synthétique et explicite possible avant le vendredi 27 septembre 2024 !

 

Crédits photo : Maïwenn Morvan

Les déchets menacent la biodiversité et les écosystèmes.
Le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires fait de la lutte des déchets plastiques et des dépôts sauvages une action prioritaire.
En effet, de nombreux dépôts sauvages et déchets se trouvent trop souvent aux portes de nos villes, dans nos campagnes, dans nos fleuves et nos rivières.
Les établissements publics, les collectivités territoriales, les entreprises, le monde associatif et la société civile agissent contre ces dépôts sauvages, par différents leviers d’actions : l’éducation, la prévention et sensibilisation, l’installation de dispositifs de collecte et de tri.
Dans ce contexte, les Fédérations des Chasseurs de Bretagne renouvellent l’opération « J’aime la Nature Propre 2025 » les 14 – 15 et 16 mars 2025

Les objectifs de “J’aime la nature propre” sont multiples :
1- Enlever les déchets se trouvant dans les milieux naturels
2- Renforcer la mobilisation locale autour de cette problématique
3- Sensibiliser le grand public à la préservation de l’environnement

Toute commune, collectivité territoriale, association, entreprise, citoyen peut participer ou organiser l’opération “J’aime la nature propre”.

Vous êtes intéressés, écrivez-nous : frcb.jlnp[at]gmail.com

Cette opération est réalisée dans le cadre du plan biodiversité du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.

Le Comité technique de l’Agence Bretonne de la Biodiversité souhaite faire du « continuum écologique entre la terre et la mer » une thématique prioritaire dans l’accompagnement des porteurs de projets bretons. Ce choix se justifie notamment par la volonté de décloisonner les gouvernances et les acteurs, traditionnellement ancrés sur les sujets terrestres ou maritimes, et d’adopter une approche transversale, axée sur la biodiversité, autour de ce continuum.

3 grands objectifs ont déjà été définis par le Comité technique :

1/ Faire valoir les différentes initiatives sur la thématique du lien Terre-Mer auprès de la communauté d’acteurs de la biodiversité en Bretagne
2/ Faire en sorte que l’Agence Bretonne de la Biodiversité contribue à travailler sur ce sujet dans ses activités de routine
3/ Accompagner, porter et être bénéficiaire d’un ou plusieurs projets sur la thématique

Dans l’objectif de pouvoir présenter un premier bilan des actions déjà réalisées sur ce sujet en Bretagne lors du prochain Comité technique du 17 octobre 2024, l’Agence Bretonne de la Biodiversité engage un inventaire des projets déjà mis en oeuvre sur le territoire breton et/ou hors Bretagne lorsque cela est pertinent.

Tout acteur public, institutionnel ou privé impliqué sur cette thématique peut apporter son retour d’expérience avant le vendredi 13 décembre, en mentionnant, par retour mail (maquestion@biodiversite.bzh) :

  • Le titre du projet
  • La(les) structure(s) porteuse(s) du projet
  • La thématique globale
  • Le(les) territoire(s) concerné(s)
  • Si le projet est en cours ou réalisé

Merci par avance pour vos contributions !

Le concours « Villes et villages étoilés » récompense des communes et des territoires qui mènent des actions en faveur d’une meilleure qualité de l’environnement nocturne. L’Office français de la biodiversité (OFB) soutient le concours 2024.

Selon un rapport de la Cour des comptes de 2021, plus de 2 milliards d’euros sont dépensés chaque année pour l’éclairage public en France. Il s’agit du deuxième poste de dépense énergétique des communes, après les bâtiments.

Si l’éclairage artificiel permet de faciliter les activités humaines la nuit et d’assurer la sécurité des espaces publics, il engendre également des effets négatifs :

⸱ Impossibilité de voir correctement le ciel étoilé, tant pour les astronomes que pour tout un chacun qui souhaiterait bénéficier de paysages nocturnes de qualité,
⸱ Dégradation de la santé humaine, avec la perturbation du sommeil et des cycles chronobiologiques,
⸱ Perturbation de la faune et de la flore, dont les sens et la physiologie sont perturbés et les risques de mortalité accru.

Afin de valoriser les collectivités qui luttent contre la pollution lumineuse, l’Association nationale pour la protection du ciel et de l’environnement nocturnes, a lancé en 2009, le concours « Villes et villages étoilés ». Depuis le 12 juin, les candidatures sont ouvertes pour l’année 2024.

Pour candidater, seulement 2 étapes sont nécessaires :

⸱ Demander son inscription en ligne, jusqu’au 31 décembre 2024
⸱ Remplir le questionnaire en ligne, de juin 2024 à fin janvier 2025 minuit au plus tard.

A l’issue de la sélection des candidatures, le label « Ville étoilée » ou « Village étoilé » est décerné aux collectivités lauréates. Ce label comporte de 1 à 5 étoiles, selon les points attribués par le jury du concours. Le concours peut également distinguer des intercommunalités et des Parcs naturels régionaux comme « Territoires de Villes et Villages étoilés ». Les résultats seront annoncés courant 2025.

Depuis 2021, 722 communes de France sont labellisées « Villes et villages étoilés ». Elles n’étaient que 39 à l’issue de la première édition.

La Stratégie nationale de la biodiversité 2030 parue il y a quelques mois fait la part belle à la sobriété lumineuse et les « Villes et villages étoilés » sont autant de territoires exemplaires pour réduire la lumière artificielle dans l’environnement.
L’Office français de la biodiversité est pilote ou co-pilote de plusieurs actions de la SNB de lutte contre la pollution lumineuse et d’accompagnement de la démarche « Trame noire », c’est donc tout naturellement qu’il apporte son soutien à ce concours.

Convaincu·es de la nécessité d’expérimenter d’autres modèles agricoles bretons et de rendre accessible la nature au grand public (90% des forêts bretonnes sont privées), nous développons un projet autour de 3 axes et recherchons des partenaires sur une forêt de 5 hectares :

1. Grande expérimentation agroécologique de production de fruits, légumes et plantes médicinales dans un contexte forestier (Dinan Agglo (22) – Forêt de Coëtquen) + atelier de production de plants issus et adaptés au contexte forestier
2. Animation, sensibilisation formation à la nature auprès de différents publics
3. Mise à disposition du lieu à d’autres acteurs pour proposer leurs formats

Notre appel (notre feuille au vent / bouteille à la mer) :

> Nous recherchons des partenaires pour la recherche afin de suivre l’évolution de la biodiversité et des paramètres agroécologiques sur l’espace concerné par la production.
> Des écoles ou structures sociales qui seraient intéressées pour réaliser des sorties sur ce lieu
> Des professionnels experts (maraîcher, arboriculteur, forestier…) pour nous aider à mettre leurs compétences dans un pot commun et créer un métier transverse : agroforestier·e.
> D’autres professionnels qui souhaitent proposer un projet (apiculteur, myciculteur, cuisinier, naturaliste …)
> Association ou collectif ayant déjà expérimenté la forêt jardin / forêt comestible
> Universités ou grandes écoles pour expérimenter des projets avec les étudiants sur un grand terrain de jeu concret

Ou toute autre idée permettant de faire germer ce projet breton.

Autre information :
Au moins 30% de cette forêt sera laissée en libre évolution.
Il y a des enjeux fort de conservation avec plusieurs zones humides
Nous recherchons actuellement différentes pistes de financement (région, département, Europe…)

« CAST, la culture au service des transitions », c’est le premier appel à projets lancé pour les jeunes acteurs de la culture en Bretagne. Cette mise en lumière des artistes engagés est lancée par 3 acteurs ancrés sur le territoire breton. Kengo.bzh, l’association Séisme et le média MAPInfo.bzh.

Faire bouger les mentalités, avoir des messages à impact, c’est le rôle de la culture, qui se met aujourd’hui au service des transitions.

« CAST, la culture au service des transitions », c’est un coup de projecteur sur les actrices-acteurs de la culture dont l’organisation et/ou le message porté répondent aux enjeux de demain.

QUI PEUT S’INSCRIRE ?
CAST, est ouvert pour les jeunes artistes de 18 à 30 ans*, situés en Bretagne historique (sur les 5 départements y compris la Loire-Atlantique) et pratiquant une discipline du spectacle vivant : théâtre (classique, contemporain, humour), danse, arts et spectacle de rue, arts du cirque, arts de la marionnette, opéra, musique live, illusionnisme, poésie…tous les spectacles vivants sont concernés.

La structure peut être une association, auto-entrepreneur, entreprise, coopérative, collectivité, fondation, fonds de dotation.

*Pour les collectifs : 50% des membres impliqués dans le projet doivent avoir entre 18 et 30 ans

LE PUBLIC VOTE POUR L’ARTISTE ENGAGÉ
C’est le public qui aura le dernier mot ! Car un spectacle est vivant grâce à son public, il était évident de lui laisser le dernier mot.

Les inscriptions sont possibles jusqu’au 15 juillet inclus via ce formulaire.

Chaque candidat ou collectif doit intégrer un lien youtube, soundcloud, de ses réseaux sociaux (en mode public) ou une vidéo via wetransfer, ou smash.

Les votes sont ouverts du 28 aout au 9 septembre.

UN GAIN D’UNE VALEUR DE 1500 EUROS

Pour rendre visibles ces acteurs engagés, Map info offre une vidéo professionnelle au gagnant qui sera publiée sur ses réseaux sociaux et le site mapinfo.bzh.

Kengo.bzh offre un plan média sur les réseaux sociaux auprès de leur communauté de 120 000 abonnés ainsi que la commission offerte sur une campagne de financement participatif.

Le 26 septembre, l’artiste ou le collectif gagnant pourra performer durant 45 minutes devant le public du Forum Séisme. Quelques 5000 personnes y sont attendues les 25 et 26 septembre.

Après un premier appel à projets consacré à la région Sud-Est, l’édition 2024 vise à financer des projets sur les autres régions (Nord-Est, Nord-Ouest et Sud-Ouest).

Les objectifs de cet appel à projets de recherche sont de :

  • caractériser l’évolution sur 5 ans des communautés d’oiseaux à l’échelle de chaque parc photovoltaïque étudié ;
  • évaluer, à large échelle, les effets sur cette évolution de différentes modalités de conception des parcs photovoltaïques en s’appuyant sur des suivis standardisés et répliqués, afin de préciser les liens entre conception de parcs et communauté d’oiseaux hébergées par les parcs ;
  • initier une dynamique de suivi basée sur des outils robustes, que les exploitants de parcs photovoltaïques pourront maintenir au-delà de la durée de l’AAP (financements en régie ou à des partenaires) ;
  • générer des retours d’expérience, tant pour les méthodes et indicateurs de suivis que sur les modalités de conception, profitables à l’ensemble des exploitants de parcs photovoltaïques.

Le présent appel à projets est ouvert aux équipes de recherche, quel(s) que soi(en)t leur(s) institution(s) ou organisme(s) d’appartenance, aux entreprises, aux bureaux d’études, aux maîtres d’ouvrage, collectivités, etc.
S’agissant de projets de recherche, l’implication de chercheurs dont l’activité de recherche est attestée par des publications scientifiques est impérative dans les équipes candidates.

De nombreux exploitants de parcs photovoltaïques sont aussi engagés au côté de l’OFB et de l’ADEME afin d’autoriser l’accès à leurs parcs et faciliter la réalisation des projets. La liste des parcs accessibles et des coordonnées de ces exploitants est disponible sur demande auprès de l’OFB (envoltaique[at]ofb.gouv.fr).

Le montant total des aides disponibles est de 950 000 € nets de taxes pour cet appel à projet. Ces aides financières seront versées sous la forme de contrat de recherche et développement.

Les dossiers de candidature doivent impérativement être envoyés par mail avec accusé de réception avant le lundi 26 août 2024 – 15h00 (heure de Paris).

AMI porté par la société Aubépine SCOP en vue de la création d’un centre de ressources pour la préservation des arbres en milieu aménagé à Saint-Jacques-de-la-Lande (35).

Pourquoi un pôle de l’arbre “urbain” ?

Le contexte urbain présente un défi de taille pour la survie des tous les végétaux, et des arbres en particulier. Pollutions, compaction et appauvrissement des sols, imperméabilisation massive, îlots de chaleur, maladies, blessures infligées par les humains, sont autant de causes qui mènent à l’affaiblissement de nombreux végétaux en ville, où l’espérance de vie d’un arbre est souvent limitée à quelques décennies, quand celle d’un sujet poussant en milieu plus naturel atteint plus facilement plusieurs centaines d’années.

Les particularités d’un environnement aménagé demandent aux experts et chercheurs un effort d’adaptation des connaissances fondamentales sur le végétal. Aussi, ce cadre implique davantage d’acteurs et de métiers connexes à l’écologie qui ont besoin d’être informés des enjeux techniques pour assurer la préservation des arbres.

Ce futur pôle se veut donc un centre de ressources et de coopération pour favoriser les boisements en milieu urbain.

Vous êtes un·e professionnel·le de l’éducation à l’environnement ?
Vous organisez des animations nature en Bretagne, en octobre ?

Inscrivez dès maintenant vos animations à la programmation de l’événement « En octobre, Tous dehors ! »

En octobre, Tous dehors ! est un événement grand public, familial et convivial, à l’échelle de la Bretagne qui proposent des animations nature sur tout le mois d’octobre.

Cet événement régional a deux objectifs :
– Mettre en lumière les structures EEDD du territoire breton
– Proposer des animations nature au grand public sur l’ensemble du territoire breton et ainsi faire connaître et promouvoir l’éducation à l’environnement.

Tous les types d’activités sont acceptés (expositions, balades, conférences, ateliers, chantiers nature, spectacles, jeux…), dans tous les milieux (mer, ville, forêt, prairie, campagne…) si l’animation respecte les 4 critères suivants :
– Avoir lieu au mois d’octobre dans l’un des 4 départements bretons
– S’adresser à l’un des publics suivants : Grand public / public spécialisé / 0-3 ans / enfants et jeunes sur des temps extra-scolaires
– Permettre aux participants d’être actifs, de participer, d’expérimenter
– Faire réfléchir le public sur ses pratiques / ses relations à la nature, aux espèces, aux espaces

Rendez-vous sur https://tousdehors.bzh/pro-ee pour trouver plus d’informations et inscrire vos animations !

Le REEB mettra a votre disposition différents outils pour vous aider à construire votre animation (ressources, outils pédagogiques…) et à communiquer sur votre animation (kit de communication…).

PatriNat (MNHN, OFB, CNRS, IRD) souhaite dresser un premier état des lieux de l’utilisation des 5 protocoles et 6 indicateurs retenus dans la BAO MhéO, et valoriser des retours d’expériences pour mettre en lumière des projets menés par des gestionnaires d’espaces naturels, dans le cadre du suivi, la gestion ou la restauration de milieux humides.

Il vous invite, en 5 minutes à répondre au questionnaire en ligne qui lui permettra d’avoir un aperçu sur la connaissance et la mise en application de cette boîte à outils.

👉 Accès au questionnaire

Merci de bien participer à cette enquête d’ici le 30 mai 2024.
Nous vous remercions par avance pour votre participation.

Si vous souhaitez participer d’avantage au projet, Saliha MARIET et Emeline MONTFERME seront ravies de se déplacer dans les territoires, afin de vous rencontrer pour un entretien et une éventuelle visite de votre site.

À l’issue du projet, Il sera fourni à chaque participant aux entretiens, une fiche « clé en main », valorisant leur projet et une synthèse globale de ce travail sur MhéO.

N’hésitez pas à partager ce document autour de vous.

L’Office français de la biodiversité (OFB), dans le cadre du centre de ressources Trame verte et bleue, lance une enquête sur la prise en compte des haies dans les Atlas de la Biodiversité Communale (ABC). Nous souhaiterions étudier la manière dont les ABC peuvent être des leviers en matière de préservation et de restauration des réseaux de haies. Ainsi, l’objectif sera de mieux comprendre les freins et les leviers à l’identification des haies dans les ABC.

Cette enquête vous concerne donc, que votre ABC ait pris en compte les haies, ou non.

Ce travail fait également l’objet du mémoire de fin d’études de Théo Ouvrard-Ragot, apprenti au Centre de ressources Trame verte et bleue.

En complétant ce formulaire, vous nous autorisez à vous contacter pour préciser les d’informations concernant votre retour d’expérience.

Temps nécessaire : 5 minutes.

Pour toute question ou pour nous faire part d’autres remarques ou de votre intérêt pour cette étude, merci de contacter : theo.ouvrard-ragot[at]ofb.gouv.fr en précisant [ABC et haies] dans l’objet de votre message.

Date limite : 31 mai 2024

Dans le cadre de la Stratégie nationale pour les aires protégées (SNAP), l’OFB porte l’animation du réseau national de Sites INnovants pour des Activités en aires Protégées Compatibles avec les enjeux Ecologiques (SINAPCE). Pour stopper l’érosion de la biodiversité, il est impératif de faire évoluer les pratiques des activités humaines qui génèrent ces pressions, en réduisant considérablement leur impact sur l’environnement.

L’approche de la compatibilité activité/biodiversité portée par l’AMI-Sinapce se veut aussi intégrée que possible. Les projets s’inscrivent ainsi idéalement dans les quatre objectifs ci-dessous, et a minima dans au moins deux d’entre eux :
• Caractériser, mesurer et évaluer les pressions humaines et leurs impacts sur les écosystèmes, milieux et espèces.
• Comprendre le fonctionnement des activités humaines et les évolutions actuelles ou à venir.
Etudier les facteurs de réussite de l’accompagnement des pratiques d’activités humaines vers une meilleure compatibilité avec la biodiversité.
• Identifier les conditions nécessaires et construire les outils adaptés au succès des transferts d’expérience.

Eligibilité des projets

Les projets éligibles au financement doivent s’inscrire impérativement dans le périmètre de la recherche & développement (R&D). Ils doivent donc être des projets de recherche appliquée, c’est-à-dire centrés sur l’obtention et l’utilisation de nouvelles connaissances en vue d’aider à l’appréhension d’une situation complexe et/ou problématique. Plus précisément, les projets doivent fournir des résultats tels que des connaissances, analyses, outils, méthodes et recommandations pour améliorer la compatibilité des activités humaines avec la préservation de la biodiversité. De plus, les résultats doivent être opérationnels afin d’être directement mobilisables par les acteurs (gestionnaires d’aires protégées, socio-professionnels, collectivités territoriales, etc.). Enfin, les résultats des projets doivent présenter une capacité à être utilisés dans d’autres territoires, aire protégée ou non (dans un objectif de valorisation et de transfert des « bonnes pratiques »). La diffusion des résultats devra être adaptée aux différents publics cibles (synthèses, formations, vulgarisations, webinaires, etc.).

Les projets doivent être portés par des structures françaises de recherche, publiques et/ou privées, de préférence en consortium. Les projets doivent obligatoirement être construits et menés en association avec au moins un gestionnaire d’aire protégée (établissement public, collectivité territoriale, association, syndicat, etc.). D’autres partenaires (dont acteurs socio-professionnels) sont également possibles. Dans le cas d’une candidature portée par une structure seule, celle-ci devra disposer à la fois de missions de recherche et de gestion d’aire protégée.

Les projets doivent concerner la France (dans l’Hexagone et/ou en Corse et/ou en Outre-mer), pour une durée maximale de 3 ans, à partir du printemps-été 2025. Tous les milieux sont concernés : terrestres, marins et aquatiques continentaux. Chaque projet doit concerner a minima un territoire d’aire protégée en France. Des actions du projet peuvent être menées à l’étranger, mais celles-ci ne pourront pas bénéficier de financements par l’AMI SINAPCE.

Les travaux des projets éligibles doivent porter sur une ou plusieurs des activités humaines suivantes :

Production ou utilisation de ressources, professionnelle ou individuelle

• Agriculture : tous types de cultures et d’élevages terrestres.
• Sylviculture et gestion du risque incendie : gestion de tous types de peuplements forestiers, en forêt publique ou privée.
• Aquaculture : tous types de cultures et d’élevages en eaux douces ou marines.
• Pêche : tout prélèvement de faune aquatique, en eaux douces ou marines, dans le cadre d’une activité professionnelle, de subsistance ou de loisir.
• Chasse : tout prélèvement de faune, pour la subsistance ou le loisir.
• Cueillette : tout prélèvement de flore (aquatique ou terrestre) et de fonge (champignons), dans le cadre d’une activité professionnelle, de subsistance ou de loisir.
• Énergies : production et transport d’énergies (hydraulique, éolien terrestre, solaire, biomasse).

Infrastructures et modification des hydrosystèmes (activités transversales pouvant impliquer divers autres secteurs)

• Urbanisme et infrastructures : toutes constructions humaines, dont les infrastructures développées pour tous types de transports (personnes, marchandises, énergie, eau).
• Modification des hydrosystèmes : prélèvements d’eau, canalisation au sens large (drainage, endiguement, installation d’obstacles à l’écoulement, etc.), traitement des eaux usées.

Fréquentation de l’espace

• Sports et activités en nature : toutes activités de loisir pratiquées en extérieur, à toute saison, spontanément ou sous forme de manifestations organisées (récréatives ou sportives), concernant tous types de pratiquants (seul, en famille, occasionnel, professionnels, etc.).

Calendrier de l’appel à manifestation d’intérêt

• Lancement de l’AMI SINAPCE : 15 avril 2024 ;
• Date limite de soumission des lettres d’intention à l’AMI SINAPCE : 12 juillet 2024 à 23h59 (heure de Paris) ;
• Date limite de pré-sélection des projets après leur analyse, avec notification des résultats aux porteurs de projet, et démarrage de la deuxième étape pour le dépôt des dossiers complets : 1er octobre 2024 ;
• Date limite de soumission des dossiers de candidature à l’AMI SINAPCE : 29 novembre 2024 à 23h59 (heure de Paris) ;
• Date limite de sélection des projets lauréats après leur analyse, avec notification des résultats aux porteurs de projet : 24 janvier 2025 ;
• Préparation des partenariats avec l’OFB. Accords de financement et contractualisation : de février à avril 2025

La biodiversité ça vous parle ? Vous souhaitez en savoir davantage ? Vous êtes passionnés de la faune ou de la flore ? D’une espèce ou d’un domaine en particulier ? Vous êtes disponible une ou plusieurs heures les 17 et 18 avril 2024 ?

Vous aimez partager et rencontrer du monde ? Expert·e ou non, nous avons un projet à vous partager !

=> Il s’agit d’un projet gratuit et participatif – ouvert à toutes et tous – associatif – citoyen – étudiant – pour lutter contre l’effondrement de la biodiversité : le projet BioBlitz.

Qu’est-ce qu’un BioBlitz ?
Un BioBlitz est une étude sur une zone géographique précise, où un groupe de scientifiques et de bénévoles mènent un inventaire biologique intensif réalisé en un éclair (blitz en allemand). L’objectif est d’identifier et de répertorier toutes les espèces d’organismes vivants présents dans une zone donnée.

Qu’est-ce que nous allons faire concrètement ?
Le principe est simple : un inventaire éclair de la faune et la flore locale avec une entrée pédagogique où des groupes de personnes (étudiant·e·s, citoyen·ne·s, enfants, etc.) partiront explorer le campus à la découverte des espèces animales et végétales qui nous entourent. L’idée est de pouvoir enrichir les atlas participatifs de la biodiversité et de sensibiliser aux enjeux liés à l’effondrement de la biodiversité.

Vous pouvez faire l’inventaire en autonomie, en groupe ou accompagné d’un expert.

Matériel d’identification sur place, livres disponibles à l’emprunt, applications

Où ?
Au regard de la richesse du territoire sur lequel nous sommes implantés, nous souhaitons reproduire ce projet sur le campus de Ker Lann (Bruz) cette année.
Le camp de base : Devant UniLaSalle Rennes, 12 avenue Robert Schuman, F-35170 Bruz

Comment venir : Bus C7 arrêt Ker Lann, Gare SNCF Ker Lann, parking vélos et voitures sur place.

Quand ?
Ce BioBlitz se déroulera : le mercredi 17 avril (de 13h à 23h) et jeudi 18 avril (de 9h à 18h) 2024.

Pour la réalisation de cet inventaire nous avons besoin :

D’expert·e·s (ou de passionné·e·s éclairé·e·s) ! Vous avez des connaissances ? Une envie de les partager ? Ou vous connaissez quelqu’un·e qui a ce profil ?
-> Remplissez ce court formulaire

De participant·e·s ! Vous êtes intéressé·e pour participer ? Le jour J, en amont ou autrement ?
-> Inscrivez votre adresse email ici pour avoir les dernières actus du projet

Le groupe de travail pour l’organisation de ce projet est pour l’instant composé de l’ENSAI, l’ECAM, la Ville de Bruz et UniLaSalle, mais il reste ouvert.

La participation peut se faire sur 1h, 2h ou encore les deux jours. Nous souhaitons partager le plus largement ce projet et en faire un projet le plus participatif et co-construit possible. Toute contribution est la bienvenue.

Contexte du projet :
Le projet « BioBlitz » s’est déjà déroulé sur plusieurs territoires, notamment sur les campus de Beaulieu et Villejean à Rennes l’année dernière. Ce projet a été initié par le CRIC DD (Collectif Rennais Inter-Campus pour le Développement Durable) et se transmet d’année en année. L’année dernière 33 expert·e·s bénévoles se sont mobilisé·e·s et 250 personnes ont participé à l’inventaire organisé par Rennes 2, l’Institut Agro Rennes-Angers, l’Université de Rennes et l’EHESP.

Les objectifs :
Nous souhaitons valoriser la biodiversité de notre campus, sensibiliser aux enjeux liés à sa préservation, et faciliter l’interconnaissance et la rencontre des habitant·e·s, étudiant·e·s et professionnel·le·s.

Les objectifs du projet sont :

  • La découverte pédagogique de la faune et flore de Ker Lann
  • Inviter à la prise de conscience de la richesse de la biodiversité et sensibiliser pour sa préservation
  • Faciliter l’interconnaissance entre les structures du campus et faire le lien avec les habitant·e·s
  • Partage des approches, compétences et savoir-faire
  • Animer le campus en lien avec la multitude d’acteurs et d’actrices du territoire
  • Pour la coordination scientifique, nous allons être accompagnés par le living lab clef.

Pour toute information complémentaire, contactez Iris Bouchonnet (chargée de mission transformation écologique et sociétale d’UniLaSalle Rennes) : iris.bouchonnet[at]unilasalle.fr

Le concours national « Préservation des captages d’eau potable » vise à récompenser des initiatives portées par les collectivités territoriales pour améliorer la qualité des ressources en eau. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 1er juin 2024.

En France de nombreuses ressources en eau sont dégradées par les pollutions dues aux nitrates et pesticides. Ces pollutions s’avèrent d’autant plus problématiques lorsqu’il s’agit de ressources destinées à la consommation humaine. Leur traitement, bien que nécessaire, ne peut constituer l’unique réponse pour assurer sur le long terme la préservation de la qualité de l’eau.

C’est pourquoi de nombreuses collectivités territoriales décident d’agir à la source, en appliquant des politiques basées sur la prévention. Leurs actions peuvent porter sur plusieurs composantes : le soutien à une agriculture s’appuyant sur des techniques agroécologiques, la maîtrise du foncier, la recherche concertée de solutions, la communication et la sensibilisation, etc. Autant d’initiatives riches et diversifiées.

Valoriser des collectivités exemplaires

Afin de mettre à l’honneur ces territoires, le centre de ressources Captages de l’Office français de la biodiversité organise la deuxième édition des Grands prix « Préservation des captages d’eau potable ». Ce concours national vise ainsi à mieux faire connaître ces actions et à encourager leur déploiement.

Les collectivités peuvent présenter leur action dans l’une des 4 catégories suivantes :

• Actions en faveur de la transition agroécologique, comme par exemple l’implantation d’infrastructures paysagères, la structuration de filières, la conception de pratiques agroécologiques, etc.
• Ingénierie de l’animation, à l’image de la mise en place d’une concertation, la mobilisation d’outils innovants pour la facilitation ou la médiation, la construction d’une dynamique collective, etc
• Communication, sensibilisation et formation, comme par exemple l’organisation de concours, le déploiement d’une campagne de communication, la création d’un label ou d’un signe de distinction, etc.
• Gestion foncière, via l’acquisition de parcelles agricoles, la mise en place d’obligations réelles environnementales (ORE) ou de projets de maîtrise foncière, etc.

Modalités de candidature

Toute personne publique responsable et compétente en matière de production, de distribution de l’eau potable et/ou de préservation de la ressource peut déposer un dossier de candidature. Les collectivités territoriales et leurs groupements ainsi que les établissements publics territoriaux de bassin exerçant des missions de lutte contre la pollution et/ou de protection et de conservation des eaux superficielles et souterraines sont également éligibles.

Les porteurs de projets peuvent associer leur candidature à des partenaires techniques comme les organisations professionnelles agricoles, les groupements d’agriculteurs, les bureaux d’études, les organismes de recherche ou les entreprises dédiées aux services de l’eau.

Les candidats sont invités à soumettre un dossier complet par mail avant le 1er juin 2024 minuit à l’adresse suivante : captages[at]ofb.gouv.fr avec pour objet « candidature Grand Prix Captages ».

L’ensemble des pièces constitutives du dossier et modalités de candidature sont disponibles sur la page dédiée du concours.

Calendrier

• 14 mars 2024 : ouverture de l’appel à candidatures
• 1er juin 2024 : fermeture de l’appel à candidatures
• A partir du 3 juin 2024 : analyse des dossiers de candidatures
• Novembre 2024 : cérémonie de remise des prix

Dans le cadre de la publication du schéma directeur pour la surveillance de la biodiversité terrestre, l’Office français de la biodiversité (OFB) lance un appel à manifestations d’intérêt (AMI) pour cofinancer des projets permettant de développer et améliorer la surveillance des espèces et habitats terrestres en France (Hexagone, Corse et Outre-mer).

Cet AMI est destiné à toute entité publique ou privée (ou un ensemble de partenaires réunis en consortium) intéressée pour proposer un projet de recherche et développement visant à améliorer la surveillance terrestre d’espèces et/ou d’habitats en France : dans l’Hexagone, la Corse et les cinq départements et régions d’Outre-mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et La Réunion).

Les projets devront apporter de nouveaux éléments méthodologiques et opérationnels permettant d’améliorer et de développer la surveillance des espèces et/ou habitats visés, de façon adaptée par rapport à l’état de l’art : élaborer des protocoles, définir une stratégie d’échantillonnage, développer et éprouver des indicateurs, proposer une organisation du réseau d’acteurs, planifier la gestion des données, etc.

Le contenu des projets recherchés, les axes thématiques considérés comme prioritaires ainsi que les méthodologies recommandées dans le cadre de cet AMI sont indiqués dans une Note de cadrage scientifique et technique, téléchargeable ci-dessous. L’adéquation du projet aux besoins identifiés dans cette note sera prise en compte dans les critères de sélection.

Les projets retenus ne pourront excéder une durée maximale de 3 ans.

A titre indicatif, l’enveloppe globale consacrée au présent AMI est d’environ 1 800 000 € TTC.

Le montant du cofinancement accordé par l’OFB à chaque projet retenu sera au maximum de 80 % du coût total du projet. La décision de cofinancement des projets retenus prendra la forme d’un contrat de marché de recherche et développement, en application de l’article L. 2512-5 du Code de la commande publique.

Le dossier de candidature (documents téléchargeables ci-dessous) devra être adressé par mail à l’adresse ami.surveillance.terrestre[at]ofb.gouv.fr avant le 12 mai 2024 – 23h59 heure de Paris.

La liste des documents à compléter et des pièces à fournir pour constituer le dossier de candidature est indiquée dans le document ci-contre intitulé Dossier de candidature (fiche récapitulative).

Calendrier

• Jusqu’au 12 mai 2024 – 23h59 heure de Paris : réception des dossiers de candidature.
• Du 12 mai au 15 juin 2024 : sélection des projets (analyse scientifique et technique et priorisation). Après examen du dossier, l’OFB et PatriNat pourront demander que celui-ci soit complété ou précisé sur certains points afin de mieux garantir son adéquation aux besoins, au choix des soumissionnaires.
• À l’issue de la phase précédente : réponse aux candidats, accord de financement et contractualisation (avec un début des projets à prévoir à partir de fin 2024).

Bonjour

Je tente ma chance avec le réseau de l’Agence Bretonne de la Biodiversité ; l’Association des Techniciens de Bassins Versants Bretons (ATBVB) souhaite organiser une journée sur le sujet de la gestion intégrée des eaux pluviales sur les zones d’activités / industrielles, et nous sommes à la recherche d’un retour d’expérience idéalement breton.

Merci d’avance pour vos retours et bonne journée !

Charlotte Le Guénic, chargée de l’animation de l’ATBVB

A l’initiative de l’Association Ramsar France, une enquête est menée auprès des organisateurs d’activités de la Journée mondiale des zones humides (JMZH) afin d’évaluer la participation globale du public à ces événements. Les réponses permettent aussi d’analyser la diversité des acteurs mobilisés pendant la JMZH et de récolter des photos, affiches et autres illustrations des activités proposées pendant le mois de février.

👉 Acteurs bretons qui avez participé à la #JMZH2024, répondez à l’enquête qui ne vous demandera que quelques minutes.

L’Office français de la biodiversité (OFB) lance un nouvel appel à projets visant à identifier les actions qui seront soutenues grâce à la deuxième édition du jeu Mission Nature consacré à la biodiversité. La commercialisation de ce jeu par La Française des Jeux (FDJ) est prévue à l’automne 2024. Il permettra de reverser à l’OFB une enveloppe estimée à 5 à 10 millions d’euros, pour financer des projets de restauration écologique dans tous les territoires, dans l’Hexagone comme dans les Outre-mer.

Après le succès du jeu Mission Nature en 2023, et sous réserve de son autorisation par l’Autorité nationale des jeux, une nouvelle édition de ce jeu consacré à la biodiversité sera commercialisé à l’automne 2024 par FDJ et permettra de continuer à sensibiliser les citoyens en leur donnant la possibilité de soutenir des projets concrets et ambitieux de restauration de la biodiversité dans les territoires.

Conformément à l’article 155 de la loi n° 2023-1322 du 29 décembre 2023 de finances pour 2024, le produit du prélèvement revenant habituellement au budget de l’État pour ce type de jeux sera affecté à l’OFB, pour le financement des actions de préservation et de restauration de la biodiversité retenues dans le cadre de l’appel à projets.

Ce dernier a pour objectif de faire émerger et d’appuyer la mise en œuvre de projets concrets de restauration des écosystèmes et des espèces associées, en cohérence avec les stratégies et dispositifs nationaux et régionaux dédiés à la biodiversité. Il vise particulièrement les projets déployant une approche systémique. Les projets permettant de reconnecter les citoyens aux enjeux de biodiversité, soit par leur caractère démonstrateur, soit par leur capacité à renforcer la biodiversité de proximité, seront privilégiés.

Éligibilité :
Les projets présentés peuvent être situés sur le territoire métropolitain ainsi que dans les départements et régions d’Outre-mer suivants : Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et La Réunion.

Montant de l’appel à projets :
L’enveloppe maximale de cet appel à projets est, à titre indicatif, d’environ 5 à 10 millions d’euros nets de taxe. Le montant final de l’enveloppe de l’appel à projets sera déterminé à la fin de la deuxième édition du jeu Mission Nature

Le montant de la subvention reversée sur la base de cette enveloppe par l’OFB sera encadré par un minimum de 50 000 euros et un maximum de 1 million d’euros sous réserve de l’éligibilité des dépenses et du taux plafond de subvention.

Modalité de candidature:
Les dossiers complets sont à déposer exclusivement via le formulaire en ligne sur la plateforme dédiée Démarches Simplifiées, accessible via le lien suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/mission-nature-appel-a-projets-2024

La liste des documents à compléter et des pièces à fournir pour constituer le dossier de candidature est indiquée dans le règlement administratif ci-dessous.

Calendrier de l’appel à projets:
Ouverture de l’appel à projets : 5 février 2024 ;
Fin des dépôts des candidatures : le 7 juin 2024 à 23h59 (heure de Paris)
Annonce des projets lauréats et démarrage de la contractualisation : au plus tard le 31 octobre 2024 (date indicative)

Mission nature 2023
La première édition du jeu de grattage de la FDJ a permis de soutenir 20 projets dans toute la France. Réhabilitation post-incendie des populations de tortues d’Hermann, retour du Gypaète barbu, restauration de pelouses calcaires de la forêt de Verdun, reconquête de la nature dans les Monts d’Arrée, renaissance du bocage dans l’Indre, restauration de zones humides au Mont Saint-Michel, etc. : autant de symboles de la restauration de la biodiversité qui sont financés grâce à l’opération Mission nature.

> Tout savoir sur les projets : https://www.ofb.gouv.fr/mission-nature

L’Office français de la biodiversité (OFB) lance la deuxième phase de son cinquième Appel à Manifestations d’Intérêt (AMI) finançant ou co-finançant des suivis standardisés pour évaluer l’efficacité de mesures de gestion mises en œuvre au sein du réseau Natura 2000. Il fait suite à quatre AMI précédemment lancés.

Les projets sélectionnés mettront en place des suivis pendant une durée de cinq ans selon un cadre méthodologique pré-établi, spécifique à chaque mesure. Les résultats permettront d’identifier les modalités de gestion les plus efficaces mais aussi les méthodes et indicateurs les plus pertinents pour suivre les effets des mesures et ainsi améliorer le processus global de gestion.

Pour ce cinquième AMI, les suivis sont envisagés de 2024 à 2028 inclus et les projets devront concerner l’une des mesures suivantes :
Mesure évaluée – Dates optimales d’intervention pour la gestion évaluée
– Gestion d’espèce végétale exotique envahissante : En ou à partir d’automne 2024 / hiver 2025
– Restauration de milieux tourbeux : En ou à partir d’automne 2024 / hiver 2025 ou automne 2025 / hiver 2026
– Restauration et entretien de milieux ouverts : En ou à partir de 2024 ou 2025
– Création et entretien de mares : En 2024 (création / curage) ou 2025 (curage)
– Retard de fauche : A partir de 2024 ou 2025
– Plantation de haies : Récemment (avant suivis), en 2023 ou hiver 2024

Il est attendu que les projets intègrent le suivi de parcelles ou unités dites « gérées » et de parcelles « témoins » voire « référence » (se référer aux cadres méthodologiques) et préférable que plusieurs parcelles/unités de chaque soient intégrées aux suivis dans la limite des possibilités budgétaires.

A noter que, concernant les espèces exotiques envahissantes, les espèces visées principalement sont les jussies et le myriophylle du Brésil, mais il recevable de proposer des projets concernant d’autres espèces végétales exotiques envahissantes sous réserve d’une justification (notamment sur la possibilité de suivre l’effet de leur gestion au moyen du cadre méthodologique proposé).

Les cadres méthodologiques s’articulent en deux parties (sauf retard de fauche) :

Une partie socle constituée de protocoles que chaque projet devra mettre en place ;
Une partie boite à outils qui regroupe des protocoles que chaque porteur de projet est libre de choisir ou non en fonction des compétences dont il dispose et de la pertinence de ces protocoles pour l’évaluation de la mesure de gestion sur son site.

Seuls les suivis seront financés par l’AMI : les mesures de gestion doivent être financées par d’autres ressources (contrat, MAE, financement en régie…).

Au-delà des financements, les porteurs de projets sélectionnés bénéficieront d’un accompagnement méthodologique tout au long du suivi et d’une analyse de données par PatriNat.

À l’issue de la période de suivi, les conclusions obtenues sur l’efficacité des mesures à partir des suivis réalisés sur ces sites pilotes auront vocation à alimenter une réflexion d’amélioration de la gestion pour l’ensemble des sites Natura 2000 et d’autres espaces naturels qui mettraient en œuvre le même type de mesures.

Calendrier

– Jusqu’au 15/03/2024 minuit heure de Paris : dépôt des dossiers de candidature
– Du 18/03/2024 au 09/04/2024 : sélection des projets (analyse technique et priorisation des projets). Après examen du dossier, l’OFB et PatriNat pourront demander que celui-ci soit complété ou précisé sur certains points afin de mieux garantir son adéquation aux besoins, au choix des soumissionnaires
– À l’issue de la phase précédente : réponse aux candidats, accord de financement et contractualisation

Vous avez une initiative que vous souhaitez valoriser et cartographier sur le site : contratsolutions-agriculture-pollinisateurs.fr ?
Allez-y ! Le second appel à recensement d’initiatives en faveur des insectes pollinisateurs et/ou de la pollinisation dans les paysages agricoles démarre. Il est mené dans le cadre de l’Axe 6 du Plan national en faveur des insectes pollinisateurs et de la pollinisation. Il vise plus particulièrement le « Partage des pratiques agricoles favorables aux pollinisateurs ».

Tous les ans, le Groupe Mammalogique Breton (GMB) propose de réaliser un suivi des terriers de blaireau le premier week-end de mars. Ce suivi consiste à contrôler l’occupation effective du terrier par l’espèce et à dénombrer le nombre de gueules actives. Le but de cette opération est de disposer d’informations sur l’évolution de cette espèce.
Si ce recensement vous intéresse, n’hésitez pas à nous contacter pour voir si l’on peut vous proposer de suivre des blaireautières non loin de chez vous déjà connues.

L’Agence Bretonne de la Biodiversité anime une mission régionale autour des Solutions d’adaptation fondées sur la Nature (SafN) depuis mars 2022.

Les Solutions d’adaptation fondées sur la Nature regroupent les actions ayant pour objectif l’adaptation au changement climatique et la préservation de la biodiversité. Derrière ce concept, on retrouve par exemple :

  • La restauration des cordons dunaires et des marais arrières-littoraux pour lutter contre les submersions marines ;
  • La désimperméabilisation et la végétalisation des villes / quartiers / écoles / rues pour lutter contre les îlots de chaleur ;
  • La préservation des haies bocagères ou la remise en état des talus pour lutter contre le ruissellement et l’érosion des sols, favoriser l’infiltration et le rechargement des nappes ;
  • La restauration hydrologique des cours d’eau ou la création des zones d’expansion de crues pour lutter contre les inondations en amont des villes/villages.

Vous avez un projet similaire ou qui répond à un enjeu d’adaptation au changement climatique, n’hésitez pas à venir nous en parler !

Bonjour, dans le cadre de mon projet d’exposition « Après le feu » sur les terres brulées et la lande des monts d’Arrée constituée de photos et films aériens, je suis à la recherche de différents partenaires :

-Partenaires afin de me soutenir dans cette exposition
-Lieux intéressés pour accueillir l’exposition sur le territoire du Finistère (dans un premier temps)
-Partenaires en communication afin de relayer les informations concernant l’exposition

Mon projet vise à mettre à l’honneur les landes des Monts d’Arrée. Au travers de l’épisode des feux de l’été dernier, je veux pouvoir amener un œil à la fois sur la beauté de ces landes vues du ciel malgré les feux et questionner de manière positive sur la régénération de la lande dans le futur. J’utilise pour cela à la fois un prisme abstrait aux travers des photos aériennes ainsi qu’un prisme documentaire à travers les films.
Par ces prismes, je souhaite montrer que les landes sont à la fois fragiles mais aussi régénératrices, peut-être immortelles…

Je vous laisse prendre connaissance de l’exposition à travers la note d’intention ci-jointe avec les photos compressées.

Vous pouvez me contacter à mon adresse mail : levoyagedeskoumoul[at]gmail.com

William Gouzien

DEUXIÈME APPEL À PROJETS DERVENN « SOCIÉTÉ À MISSION » : MÉCÉNAT DE COMPÉTENCES CONNAISSANCE ET PRÉSERVATION DE LA BIODIVERSITÉ DE NOTRE TERRITOIRE

Dervenn lance son second appel à projets « mécénat de compétences en faveur de la biodiversité » en sa qualité de « Société à mission » introduite par la loi PACTE en mai 2019. Notre raison d’être depuis près de 20 ans maintenant est de rendre compatibles les activités humaines et la préservation de la biodiversité, et dans ce cadre, nous poursuivons l’une de nos actions phares ; notre mise à disposition de compétences en faveur de projets du territoire.

Dans le cadre du fondement « Promotion de la biodiversité », nous vous proposons un mécénat de compétences pour préserver la biodiversité sur notre territoire.

Proposez-nous un projet d’action en faveur de la biodiversité et nous mettrons nos compétences et notre expertise à votre service pour vous accompagner : études et conception – conseil – maitrise d’œuvre – travaux de génie écologique.

Les critères d’éligibilité sont les suivants :

– Être un particulier, une entreprise ou une collectivité ;

– Ne pas se substituer à une ou des obligations règlementaires ;

– Un rayon d’action de 1h30 autour de Rennes ou de Nantes ;

– Un besoin sur une ou plusieurs des compétences suivantes :
• un accompagnement écologue ou naturaliste,
• de la conception/création d’aménagement en faveur de la biodiversité
• des travaux de génie écologique
• une valorisation pédagogique d’aménagement ou de projet,
• un accompagnement conseil en gestion, études ou travaux de génie écologique.

– Un accompagnement à hauteur d’une semaine d’étude et/ou de travaux de génie écologique.

Ou toute autre proposition permettant de valoriser ou d’optimiser l’accueil de la biodiversité dans l’ouest de la France !

Les différentes propositions seront analysées en comité de suivi et présentées à l’ensemble des collaborateurs de Dervenn pour un vote. Le lauréat sera notifié au printemps 2023 pour une mise en œuvre dans l’année.

Merci d’avance pour vos propositions afin que nos collaborateurs du pôle étude et/ou du pôle travaux puissent vous accompagner !

Proposez-nous vos projets via notre questionnaire.

Chaque année, l’Office français de la biodiversité (OFB) propose aux collectivités de leur apporter un soutien afin de réaliser un Atlas de la biodiversité communale (ABC). Cet atlas leur permet d’identifier les enjeux de biodiversité sur leur territoire et de préparer un plan d’action pour mieux préserver ce patrimoine. Cette année, l’OFB réaffirme son soutien aux ABC en lançant le 8e appel à projets, mobilisant une enveloppe de 3 millions d’euros. Les collectivités et leurs partenaires ont jusqu’au 22 mars pour déposer leurs candidatures.

Un Atlas de la biodiversité communale est un dispositif d’action collective en faveur de la préservation du vivant. Il permet aux collectivités de mieux connaître, préserver puis valoriser le patrimoine naturel sur leur territoire tout en mobilisant une diversité d’acteurs locaux : élus, écoles, citoyens, associations, entreprises, etc. (retour d’expérience💡)

Un ABC est donc un outil de connaissance, de mobilisation et d’aide à la décision pour les collectivités dans leurs démarches d’aménagement et de gestion.

Depuis 2017, 391 projets d’ABC impliquant près de 3 000 communes ont pu voir le jour grâce à ce dispositif.

Pour cette nouvelle édition de l’appel à projets d’ABC, les communes et intercommunalités, ainsi que leurs partenaires associatifs, sont appelés à déposer leurs candidatures entre le 16 janvier et le 22 mars 2023 via la plateforme de dépôt Démarches simplifiées.

Le programme ABC se développe grâce à ce nouvel appel à projet et grâce au développement de la capitalisation autour du programme, permise notamment grâce au soutien de la fondation ENGIE.

Afin de suivre l’évolution des populations de Micromammifères, le Groupe Mammalogique Breton réalise une collecte annuelle de pelotes d’Effraie des clochers. Ces pelotes, une fois décortiquées et les proies qu’elles contiennent identifiées, sont des sources d’informations précieuses.

Nous invitons donc les naturalistes, techniciens de collectivités, gestionnaires d’espaces naturels, particuliers… à contrôler les sites occupés dans leur secteur par l’Effraie et à nous transmettre les lots de pelotes collectés (et étiquetés avec nom, prénom, coordonnées, date et lieu précis de la trouvaille). Cette opération menée en Bretagne administrative et Loire-Atlantique est renouvelée tous les ans.

Bonjour à tous,

Je travaille à faire interdire à terme (le plus court possible !) l’utilisation des paillages plastiques dans les aménagements paysagers. Ces paillages, le plus souvent en polypropylène tissé, ont deux utilisations principales. La première pour des plantations : le paillage couvre le sol autour des plants installés pour empêcher l’arrivée spontanée de plantes concurrentes et pour limiter l’évaporation du sol. C’est d’ailleurs la fonction originelle du paillage jadis constitué de matériaux naturels comme la paille.
La seconde en couverture de sol pour ne plus avoir à entretenir la végétation (talus, pied de clôture par exemple). C’est en quelque-sorte un substitut des phytocides.
Ils ont un impact négatif sur la biodiversité (absence de fleurs sauvages pour les insectes…), sur le bilan carbone (fabriqué à base de produit pétrolier et empêchant le stockage de carbone dans le sol), donc sur le climat, et aussi sur la pollution plastique : dégradation progressive en fins éléments qui polluent tout l’écosystème, du sol aux océans.

Pour étoffer mes connaissances et mon argumentaire, j’en appelle à vos savoirs et je recherche notamment :
– des données sur la commercialisation de ces produits et leur place sur le marché par rapport aux toiles biodégradables : quantités commercialisées par les vendeurs, installées par les paysagistes
– des retours d’expériences des collectivités publiques sur une stratégie de dépose de plastiques antérieurement installés
– des retours d’expériences de ces mêmes collectivités ou d’autres acteurs sur les solutions alternatives mises en place (techniques et acceptation culturel du « moins propre »)
– toute contribution que vous jugeriez utile.

MERCI à vous.

Dorian Etienne, designer-artiste développera avec « Pays’Âges » une collection d’œuvres artistiques et environnementales sur le territoire breton. Il a pour objectif de créer plusieurs tapisseries-témoignages naturelles et locales dans un but de sensibilisation aux multiples enjeux du territoire, tout en créant localement du lien, ainsi qu’un volet participatif et une exposition temporaire.

Ce projet nécessite de trouver plusieurs lieux d’accueil (atelier et logement) pour sa mise en place en Bretagne, répartis sur les quatre départements. Ces espaces de production doivent pouvoir inclure le cadre de touffetage (7m de longueur x 1m de largeur x 4-5m de hauteur), pour une durée d’environ un mois par œuvre (mois d’août, de septembre ou de novembre).

Pays’Âges est lauréat de l’appel gouvernemental Mondes Nouveaux. Il est ainsi soutenu par le Ministère de la Culture et le Conservatoire du Littoral. Il sera réalisé dans l’été 2022.

Pays’Âges propose d’étudier et de révéler l’identité de territoires bretons « à risque » (immersion, disparition de la biodiversité, empreinte humaine, …) sous un angle artistique peu commun : du ciel.

Il projette la réalisation de plusieurs tapisseries-paysages immersives de grand format, présentant les singularités de la région, son caractère et sa biodiversité. En effet, celles-ci seront réalisées en entièreté sur site, avec des matières 100% locales et naturelles (fibres végétales principalement invasives, fibres animales, teintures végétales et bois). Ces œuvres témoigneront d’un état du lieu à cet instant crucial du dérèglement écologique.

Ces collections, témoignant de l’évolution des paysages et des enjeux écologiques et sociétaux qui s’y jouent, pourront soutenir le travail d’organismes de sauvegarde de la biodiversité et de valorisation des territoires naturels français.

Les tapisseries-paysages prendront la forme de sculptures en relief, plus immersives qu’une tapisserie traditionnelle à plat. En effet, l’outil de touffetage utilisé offre la possibilité de créer du volume qui reprendra ainsi une autre dimension paysagère : la topographie.

Enfin, des ateliers participatifs seront organisés autour des différentes étapes du projet pour sensibiliser les habitants à leur environnement (richesse de la biodiversité, repérage paysager, savoir-faire traditionnels), tout en créant du lien. La réalisation des tapisseries-témoignages sera, elle aussi, ouverte au public et la restitution du projet se fera la forme d’une exposition immersive des pièces, dans un lieu emblématique du territoire breton.

Carte du projet incluant les potentiels territoires à valoriser par Pays’Âges (en rouge foncé) et les acteurs identifiés : https://www.google.com/maps/d/edit?mid=1GGozSAnSuw23HRW5XJg4B6QrNLq73Ln1&usp=sharing

Au plaisir d’échanger à ce sujet et merci de votre aide !

L’appel à projets « Soutien aux Réserves naturelles nationales et régionales » s’inscrit dans l’axe 3.5 « Préserver et reconquérir la biodiversité » du programme FEDER 2021 2027, action 3.5.1 « Soutien aux aires protégées sous protection réglementaire et/ou document de gestion ». L’appel à projets concerne les Réserves naturelles nationales et régionales, régies par les articles L.332 1 à L. 332 27 et R. 332 1 à R. 332 81 du Code de l’environnement.

Le soutien proposé vise à répondre aux besoins de financement des opérations des Réserves naturelles nationales et régionales en termes :

  • d’acquisitions foncières
  • de protection de la nature
  • de connaissance
  • d’expérimentation et de recherche
  • de gestion et de restauration
  • d’animation et d’éducation à la nature
  • de valorisation.

L’appel à projets a vocation à accompagner la définition et la mise en œuvre de projets territoriaux en faveur de la biodiversité, basés sur le renforcement des continuités écologiques.
Ces démarches peuvent inclure des actions telles que :

  • inventaires, diagnostic de la fonctionnalité, identification des continuités écologiques
  • identification des enjeux de préservation et de restauration des continuités écologiques
  • définition et mise en œuvre de plans d’actions adaptés.

Les projets peuvent donc prendre la forme d’Atlas de la Biodiversité Communale ou Intercommunale, à condition qu’ils comportent un volet structurant sur les continuités écologiques en cohérence avec les attendus de l’appel à projets.

Un accompagnement possible des projets, quel que soit leur stade d’avancement :

Le diagnostic écologique du territoire qui permet d’identifier les continuités écologiques, met en valeur des enjeux de préservation et de restauration, et leurs interactions avec les enjeux socio-économiques. Une fois ces enjeux cernés et hiérarchisés, le porteur de projet établit un plan d’actions opérationnel qui lui permettra de mener des actions de préservation, de restauration de continuités écologiques, d’intégrer la biodiversité dans l’ensemble de ses politiques publiques (dont les documents de planification) et de déployer des actions de sensibilisation. Il pourra aussi conduire des études complémentaires pour développer la connaissance de certains secteurs ou certaines espèces du territoire ou pour préciser la nature de travaux de génie écologique à réaliser.

L’appel à projets est ouvert à tout type de démarche, quel que soit son stade d’avancement et de maturité : sont attendues les démarches émergentes, comme celles de territoires qui ont déjà développé un diagnostic et un plan d’actions en faveur des continuités écologiques et qui souhaitent désormais mettre en œuvre et animer leur plan d’actions.

Les démarches sur les trames noires, blanches et brunes, moins connues, plus expérimentales, sont encouragées

L’appel à projets pourra également accompagner des études et des démarches en faveur de la trame noire (pollution lumineuse impactante pour la biodiversité), la trame blanche (pollution sonore) ou la trame brune (liée à la qualité des sols). Autre nouveauté : les projets pourront aussi comporter une évaluation d’actions déjà entreprises en faveur de la restauration ou préservation des continuités écologiques présentant un retour d’expérience et visant l’amélioration des interventions.

Les projets seront appréciés sur leur capacité à :

  • mettre en place une démarche intégrée, en mobilisant l’ensemble des politiques publiques concernées. Les plans d’actions devront démontrer comment ils s’articulent aux autres stratégies en œuvre sur le territoire, en matière d’environnement (bocage, milieux aquatiques, énergie et adaptation au changement climatique, agriculture…) et d’aménagement et de développement territorial (aménagement, urbanisme, infrastructures, tourisme…) ;
  • déployer une démarche fédératrice en mobilisant les différents partenaires institutionnels et socio-économiques concernés, et les inciter à développer des actions pour lesquelles ils sont compétents. Ceci garantira la transversalité et l’appropriation de la démarche ;
  • engager une démarche qui vise la reconquête de la biodiversité à travers des actions opérationnelles. Les plans d’actions définis dans le cadre des projets devront présenter un caractère suffisamment opérationnel pour permettre le passage à l’action ;
  • adopter une méthodologie en phase avec les attendus et les outils régionaux disponibles (cadre méthodologique du SRADDET, et recueil méthodologique pour des projets territoriaux en faveur de la biodiversité)

Echelle des projets attendus

Considérant que la cohérence paysagère et écologique dépasse bien souvent les limites administratives communales, et au regard de l’intérêt à mutualiser les méthodes et les outils sur un même territoire, les projets attendus se situent en priorité sur des territoires pluricommunaux. Ainsi, les porteurs de projets attendus prioritairement sont les PNR, les EPCI, les structures porteuses de SCOT, SAGE, ou de bassin versant, les Départements, la Région. Les Établissements publics, les associations et les acteurs académiques peuvent également bénéficier de l’appel à projets.

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